J'essaye, comme à mon habitude dans
les circonstances publiques de brosser quelques portraits; mais la fatigue
de la journée n'accouche de rien de bon et j'abandonne assez vite
tout espoir de vous soumettre des croquis, des caricatures, pour accompagner
ce journal en ligne que je ne doute pas de réaliser. Je regrette
un peu d'avoir moulé la première rencontre avec Philippe
de Jonckheere dans ce pensum, et j'espère qu'il ne m'en voudra
pas trop d'avoir eu le mauvais goût de l'embarquer dans un des écueils
supplémentaires de mon inconséquence et de mon désoeuvrement. |