Comme généralement ils sont quarante
à se compter les poils du cul pour chroniquer le dernier album
de Manu Chao, le Jour des fous doit être pour eux l'occasion
inespérée de causer de trucs assez stimulants pour les
extirper des vapeurs d'afghan et ressuciter leurs aspirations journalistiques
en chute libre.
J'ai faux. Pour une fête de l'inversion, c'est sans doute normal
que tout se déroule à contrario de mes attentes et mes
agneaux se branlent de mon affaire comme de leur carte d'électeur.