la promiscuité des oeuvres n'étant
guidée que par un sentiment puéril d'analogie visuelle,
de ressemblance si vous préférez, le pire ricoche sur le
pire jusqu'au cauchemar d'andouillerie. Si vous désirez suivre
l'oeuvre d'un artiste en particulier, il vous faudra sillonnez toute l'installation
où elle aura été atomisée au gré des
singeries aillagonesques (j'ai essayé de présenter un peu
Bonnard à ma compagne, ça a été gratiné).
Ainsi, Balthus dont on ne savait trop où le foutre puisqu'il ne
ressemble à personne, se retrouve parfois en présence de
cette merde de Tamara de Lampicka, le plus souvent à côté
de n'importe quel truc qui aura fait dire à l'installateur: "Ça
ressemb'.». C'est ça, l'idée de la cohérence
selon ces corniauds de la culture déco: ça ressemb'.
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