Ce qui définitivement ôte
toute crédibilité à ce musée pourrait tenir,
par exemple, dans ce seul détail: la galerie imaginaire d'art contemporain
et ce qu'on y présente. Bon, c'est évidemment le seul endroit
du musée on l'on puisse regarder peinardement des planches sans
être harcelé par les saillies multicolores du décorum
patissier, puisque, tout le monde le sait, une galerie d'art contemporain,
c'est blanc, c'est lisse, c'est vide (heureusement que les zozos du coin
n'ont pas été faire un tour au Palais de Tokyo, ils auraient
dû nous refaire les ruines de Champigneulles...). |