Les paraphrases entre voix et percussions du début font songer à ces exercices d'apprentissage Indiens au cours desquels le maître dicte oralement les lignes de frappe à interpréter sur les tablas à son élève; je reste sur la même impression de légèreté ennuyée que m'avait procuré la première écoute de Toucher. J'arrive pas à m'intéresser au récit (ma surdité n'arrange évidemment rien, et je ne saisis pas le dixième de ce bout de vie de Galilée martelé par les congas), et si je suis épaté par la vivacité, la virtuosité et l'entrain d'Olivier, l'exercice me semble fastidieux et, d'un strict point de vue sonore, assez plat.

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