Cécile Bellat joue une fois de plus l'ambiguïté
avec cette installation plastique et sonore qui dévore
les jardins du Bon Accueil: elle nous met dans la situation
embarrassante d'avoir un oeil attendri et contemplatif sur
des scènes de fin du monde, elle teinte l'apocalyspe
d'une douceur apaisante qui appelle la flânerie.
Une visite numérique de l'exposition par L.L. de Mars.
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