L'art chemin faisant - 29 juin 2003 - Pont-Scorff

Et pour le reste, je suis décidément trop crevé par cette journée chargée. C'est dommage, sans aucun doute, parce qu'à l'exception du pénible parc d'attraction d'Annick Sterkendries*, c'est probablement à cette dernière étape que se trouvent concentrées les oeuvres les plus intéressantes de L'Art chemin faisant de cette année (je n'ai pas vu les autres sessions ; leur compte-rendu est consultable ici). Vous avez toujours le loisir de faire un saut à Pont-Scorff pour le constater vous-même, ça dure jusqu'au 7 septembre.


*Passe encore qu'elle essaie de nous fourguer ses T-Shirts pour arrondir ses fins de mois, mais qu'elle nous évite au moins la braderie de sa conception frelatée de l'enfance ; elle ignore apparemment à quel point ce qui caractérise l'enfant — en matière d'orthographe relâchée comme de dessin — ce n'est pas la grande liberté ni l'imagination, mais au contraire la gestion des lieux communs dont il faudra patiemment débarbouiller le petit crétin; la plupart du temps, on n'y arrive pas, et on obtient des adultes obtus ou des artistes cons comme la lune.