La STPO & DDAA en concert au Jardin Moderne le 17 mai 2003
Hélas, quelle que soit la qualité des
oeuvres, une trop grande profusion leur nuit. Personnellement, après
deux heures de Louvre, même le Cimabue me fait barrer en courant.
Hé bien là, pour la STPO, ça a été un
peu pareil. J'ai loupé une bonne partie du concert parce qu'après
un certain nombre de morceaux, plus aucune information sonore ne rentrait
sous une autre forme qu'une bouillie d'indistinction. J'ai pu me resaisir
à la fin, mais j'ai dû rater une bonne demie-heure de concert,
c'est dommage.
L'envie de tout dire, de tout présenter, fait l'impasse sur le fait
que les oeuvres contiennent en substance une bonne partie du parcours qui
a conduit jusqu'à elles.