C'est pas en vous causant de Degas et de
Vermeer à propos de cette scène d'ablutions que je vais
me rattraper, allez, je sais bien.
Mais une chose est certaine à mes yeux, c'est la générosité
sans trucage du travail de Garcia, qui fait plaisir à voir. Je
la sais fragile, je sais qu'elle tombe vite, car les violences qui la
font naître en réaction finissent la plupart du temps par
en avoir raison et l'écraser. Que fera Garcia dans dix ans? J'aimerais
mieux ne pas me poser si souvent cette question à propos d'oeuvres
cinglantes pour en avoir vu tellement devenir cyniques ou mous aux premiers
signes de vieillissement.
Que deviendrai-je moi, en substance, dans dix? Que sera devenue ma colère? |