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En poursuivant aujourd'hui avec les centres
d'art son attitude du Renard de la fable devant les raisins
qu'il ne peut atteindre («Ils sont trop verts et bon
pour des goujats»), L.L. de Mars ne doit pas s'étonner
d'exposer aujourd'hui dans une librairie, aussi brillante soit-elle
; et lorsque l'excellent libraire d'Alphagraph sera fatigué
à son tour de jouer les samaritains en permettant au
tandem De Mars/Batsal d'exhiber leurs carences en public, c'est
dans les salons de coiffure et dans les pizzerias qu'on entendra
brailler au vent contre le Palais de Tokyo ou le FRAC.
Quelle misère... |
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