Quand on pense qu'il a peut-être suffit d'un tout
petit écart , une toute petite pétouille
de rien du tout entre le cambrien et l'ordovicien, pour que l'évolution
ait suivi le cours
hasardeux des métamorphoses cahotant maladroitement de l'animalcule approximatif
qui végétait dans une bouillasse salée même pas potable
à ce splendide animal
aérobie à crinière et à fleurs qu'est le Paul...