Le Quan Ninh réduit au plus strict
minimum la famille des percussions, pour préférer à
l'étendue des membranes ou des claves la prolifération
de ce que j'appelerais faute de mieux des projectiles, raclant, frottant,
chatouillant ou frappant sa peau avec un ensemble d'objets aux propriétés
sonores et instrumentalisantes variées.
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