J'avoue avoir assez peu goûté
le dolorisme expressioniste de ses tétanisations fiévreuses
et n'avoir pas attendu plus de dix minutes pour me dire que, décidément,
la danse, ça me casse les couilles. «De toutes façons
ceux qui aiment ça risquaient pas de voir grand-chose avec l'espèce
de grand con qui prenait des photos devant» diront certains, plus
sensibles que moi au travail de Yukiko Nakamura. |