Tout ça pour dire qu’il en a résulté
quelques dizaines d’heures de musiques, de rencontres,
de discussions, dont il est impossible de rendre compte concert
par concert, a fortiori œuvre par œuvre. Cette soixantaine
de photos en ordre plus ou moins chronologique sera donc accompagnée
de commentaires pas forcément en rapport direct, mais
où j’essaierai de vous narrer comment j’ai
vécu cette résidence exceptionnelle.
Et, oui, je vous dirai tout sur ce qui a fonctionné,
ce qui a foiré, et à qui la faute. Au-delà
d’une exigeante exégèse artistique (j’écris
« exégèse » juste pour emmerder
Laurent), y’aura donc de la place pour les potins du
terrier. |