Seconde partie avec encore des moments de gravité,
d'autres plus légers, des choses plus classiques et faciles que dans
le début (Over Overlord, un poil gnangnan, sauvé par
l'adjonction choisie d'incongruités bruiteuses qui en agacent la
ligne trop fluide), certaines drôles comme Radio Paris, morceau
très réussi à tout point de vue, Code Talkers
ou Chien Vert, là qu'on profite à plein de Vrod, de
son musicolage de bric et de broc, de ses composants hurlants sur lesquels
il crie des choses, on ne sait pas bien quoi mais. |