On peut se demander, puisque personne n'est
dupe de la forfanterie d'untel qui s'invente une brillante carrière
de chanteur lyrique ou d'unautretel qui s'imagine politiquement incontournable,
pourquoi chacun n'y puise pas l'occasion raisonnable, au fond, de fermer
sa gueule et ses oreilles. Faut croire qu'on s'emmerde plus à Fougères
encore qu'ailleurs, et que les occasions de causer sont rares. Il y a
ici comme une sorte de mue qui s'est développée autour du
langage, qui le maintient dans une gangue étanche où le
sens ne pénètre pas. Pourquoi je vous raconte ça?
Ah oui : |