Les conditions de travail commencent pas
terrible: comme à notre habitude, Catherine et moi nous sommes
paumés, et nous débarquons à la Veuve Coudère
avec une heure de retard. François prétend ne pas s'être
égaré mais il débarque une demie-heure après
nous en prétendant avoir fait du tourisme. La lumière est
franchement crade pour les photos et Catherine devra renoncer à
son appareil qui ne capte aucune lumière pour prendre toute la
soirée avec le mien qui déconne à pleins tubes. Ça
nous promet des jolis flous baveux et des taches de surexposistions merdasses
autour des spots (je le dis en passant, chez Olympus, c'est une jolie
famille de gros enculés : ces crapules refusent de réparer
mon appareil parce qu'il est trop vieux. Trois ans, et zou, à la
casse. Sachez-le avant de vous en encombrer, les appareils à 600
euros de chez Olympus sont des jetables) |