Le dernier numéro de la revue
Enculer est sorti, plus inattendu et plus raffiné que jamais, ce sont
86 pages sur cyclus 80gr mises en forme par L.L. de Mars & Joachim Clémence, enchassées dans un papier canelé 220 g :
Impossible de dire de ce cinquième numéro s'il est beau ou épouvantable, s'il touche à la fluidité des façade du Bernin ou à la confusion de chair et de boue des champs de bataille, si les auteurs sont célébrés dans un espace éditorial totalisé ou s'ils sont réduits en miettes dans une bouillie visuelle.
Sans doute est-ce tout cela aussi intensément, mais c'est très certainement d'une singularité et d'une inactualité dont nous pouvons être fiers ; nous n'avons jamais été aussi loin des catalogues de centre d'art qui font le moule de tout ce qui se publie depuis dix ans. Nous n'avons jamais approché à ce point notre désir initial de faire de la revue le lieu d'une invention aussi violente et saugrenue que les textes qu'elle défend.
vous pourrez nous rejoindre pour la ciquième
fois en commandant ENCULER
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- X
La carte de Corrèze
- Oolong & L.L. de Mars
L’appartement
- David Uby
Les dits de l’oripeau
(pour se rendre en enfer)
- Antoine Hummel
Galeries
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- Jean-François Savang
Critique & tactique V - Extranéation du sujet
& anomie positive
- M²
Vers 0 (extrait)
- L.L. de Mars
Un polyptique littéral
(première partie)
- Joachim Clémence
Station (première partie)
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- Jean-Luc Guionnet
La répartition des mouettes
sur une mer d’huile
(extrait)
- Oolong
Matin
- David Christoffel
Quand Bob se fait Pad
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