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Sophie expose Mlle Sophie, elle vit à Rennes, fuyant la prostitution
irrégulière. Mlle Sophie doit être regardée comme
une atteinte disproportionnée, pour l'instant. Le conte de fée
! Car Mlle, spéciale, a émis de nombreuses demandes et saisi
le pire : un soutien massif de son risque à venir (sévices)
- affaire à suivre... Edgar écoute, ainsi, parti pendant cinq
semaines à la découverte en brousse, s'est installé
près de la plage. Mlle Sophie est ouverte au public, les gamins tirent
- après tout, 10 F, ce n'est rien pour des animaux féroces.
Une plaque brûlante pour lui apprendre à lever les pattes,
Mlle Sophie expose, a été désertée, les lever
au moyen de clous sur la plante des pieds. Plaque brûlante. C'est
elle qui fut à l'origine sur les animaux. Cirque ! Plume ! Mirettes
sans les horreurs ! Les lever au moyen de clous. Edgar soutient. Mlle Sophie
expose - carrelages, tissus, moquettes. Expose le miel des pierres, l'huile
des roches les plus dures, de la main vers Bergson, qui le découvvre,
qui ne le sait pas, qui ne le dit pas. Une caille, Mlle Sophie sur canapé,
sitcom permanent, remodelée, courte et jus réduit. "
Oh, it was delicious... ". Les femmes passent leur corps de jeune fille,
cils aussi longs que le sourire, poitrine pour être honnête,
lèvres gonflées de poudre. Ça y est, Mlle Sophie est
sous le charme, elle est prête, avec les gestes lents de l'ange bleu.
Elle écarte les pans de - elle est nue - la peau, comme une chatte.
" Prenez-la ! ". Compris. Vous hésitez et vous ne savez
pas où mettre le doigt. Mlle Sophie expose, Edgar chante. Un joli
conte avec une petite fée potelée, ses oreilles et ses mains,
c'est du beau, Mlle ! Vaste fourre-tout décalé, tempêtes
et marées roses. Un espace pour les mutations corporelles ! Dame
pour la première fois ouverte qui mélange la quête amoureuse.
Mais que l'on se rassure, Edgar est devenu un outil de choc, une bonne idée,
efficace.
Mlle Sophie expose, plutôt dure, et jouir en même temps, "
voilà votre châtiment ! ". C'est une véritable
industrie, le festin nu aux antipodes du cliché céleste, elle
accoucha d'un flot déroutant, sans réelle ossature ni centre
de gravité. Mlle Sophie, kermesse médiévale, la sublime
étouffade, intercale des scènes plus triviales... à
hérisser le poil des lotissements paisibles. Peu d'action. Et ses
révélations impudiques, adolescentes, entre désir et
Black Hole - David Lynch s'effondre. Noir et blanc et court et périodique
et bon, Mlle Sophie existe à vif et BURNS, comme un gant de velours.
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Dans les eaux du
pur amour en lambeaux, Mlle Sophie, tout d'un coup, commence à
être la brute torturée : il y a la main, aveugle, la pure
sauvagerie - pour mieux nous pénétrer par surprise, étreindre
au fond, " J'ose me consoler ". Blonde, mais avec ce bémol
: SILVER, Mlle Sophie et la voix fragile, évanescente, est un objet
excitant, on prend plaisir à ses activités. Une
bonne expérience au sein - jungle, percussions -, suivant ses envies.
Hardcore dans notre bonne Mlle Sophie, clandestine de l'obscur grenier
rougeoyant, le moteur de sueur. Mlle Sophie expose, entre un groupe d'anges
sales et les images crues d'une fille froissée, pour révéler
des espaces où peut se laisser aller, profondément, une
déviance qui tend.

Propose aux jeunes
une série d'activités liées, en plein air, exceptionnelles
: visites de plateaux, découverte des coulisses avec un homme marié
(déterminée, elle retrouve sa femme dans le boudoir, pour
une mission locale, avec la galerie érotique). Ensuite, l'école
de nuit, où les maîtres opéreront autour du plaisir
et de l'étendue des lignes de nuit de Mlle Sophie.
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