Jean-François Savang s'est débrouillé tout seul comme un grand pour retaper une vieille caisse de métal et en faire cette vitrine, imposant aux murs du Nova, aussi rétifs aux trous qu'au droit, la force de sa volonté souveraine. Merci Jean-François pour ce magnifique solo de perceuse de cinq heures dont aucun d'entre nous n'oubliera les beaux accents malhériens. |
lldemars, l.l. de mars, Le Terrier au Nova, musique, contemporaine, non idiomatique, improvisation, exposition, droits d'auteur, art