Le Fil conducteur entraîne la lecture dans le ressac de deux temporalités narratives qui se ruinent l'une l'autre pour mieux cacher le temps secret du récit : abandonnez-vous au jeu de pistes de l'image arrêtée, et la séquence se pulvérise en une série anecdotique dont l'enchaînement décontenance la raison. Poursuivez le mirage d'une histoire, et vous perdez la cristallisation des sentences qui, agglomérant des mondes disparates, font la raison de tout vrai récit... |