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| Pour ceux qui comme moi verraient dans
cette visite au Puppenheim Billybaouin* l'occasion d'accéder à
des collections permanentes habituellement séparées de nous
par les quelques milliers de kilomètres d'Atlantique qui rejettent
New York dans les livres d'art, les magazines et les films de Woody Allen,
je dois vite préciser que le Puppenheim de Billybao se voue à
deux cultes auxquels il vaut mieux se préparer sous peine d'être
assez déçu... *Si les habitants de Billybao ont certainement un nom, je le suppose basque ou espagnol; autorisez-moi donc cette licence dans la version française. Je n'ai pas d'autre argument pour ce choix que l'effet comique irrésistible sur moi de Billybaouin. Vous ne trouvez pas ça marrant? Essayez de le dire très nasal "Bil-ba-ouin". "Bil-ba-ouin". "Bil-ba-ouin". "Bil-ba-ouin". "Billybaouin". Rien? Merde. Je viens de me couvrir de ridicule. |
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