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Pour L.L. de Mars, le constat est nettement
plus éloquent: voilà un bon moment qu'il accable
les visiteurs du Terrier de ses
chroniques fielleuses qui laissent penser qu'aucune oeuvre
d'art contemporaine ne saurait trouver grâce à
ses yeux; on l'a même vu rouler
dans la boue la collection du musée Guggenheim de
Bilbao, c'est-à se demander quelle dose de vanité
pourrait bien l'étouffer... Alors, qu'aurait-il donc
de si extraordinaire à proposer pour s'autoriser à
la ramener de la sorte? |
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