C'est là que le bât blesse...
Force est de constater que l'esprit revanchard et la petitesse
gouvernent au moins son procédé d'exposition:
sans doute aigri d'être, à bientôt 40 ans,
à peine reconnu par sa tante Marion et son voisin de
palier, il ne rate aucune occasion de faire savoir combien
il méprise l'institution: on imagine sans difficulté
qu'il trouverait beaucoup moins à redire sur le cercle
de l'art contemporain si on l'avait trouvé au moins
digne d'y être inclu.
Au lieu de quoi, ses dénigrements interminables sont
lisibles à longueur d'un espace éditorial qu'il
a bien dû créer faute d'en trouver d'autres qui
acceptent ses jérémiades. |