Après la très longue, très
nourrie et très méritée salve d'applaudissements
qui ponctua le concert, j'ai entendu brailler une voix familière,
celle du bien connu des familiers de ces chroniques François Coquet,
saxophoniste de grand talent et braillard intempestif à ses moments
perdus (tout le monde déplore qu'il en ait), qui me fit remarquer
sans ménagement que j'étais un casse-couilles et toutes
ces sortes de choses. |