L.L. De MARS

"Hunt"

Mais enfin, de moi,
qu'est-ce
Qui me fuit, hein

L'odeur de mOOn
Peut-être, mais toi
Certainement pas
toi
qui m'est à la glotte
Indélogeable

ça va faire des jours
Ces Jours
sans la mOOn au-dessus Où
de ce jour
Où tu m'as mil' cahote ...

Mais
Dein gesicht spracht hier
(parle ici)
& pour moi
sprachlos (me laisse sans VOIE) ...
murmure Ce qui est
(entre parenthèses) :
disant:
("mais ça va s'arranger" "ça va s'arranger")

... deux souffles font 2 fond
un SAns peIN E
U N
Cette façon singulière du pluriel
où ça s'est mis sur nous ...
Peut-être-pas-tout-à-fait
>ISOLARE<
dans l'ensemble

Mais J'y suis sans moi, là....
et imaginons ce
cas extrème OÙ
(ou la salive s'en mêle)
(ou j'y serais sans voix)
Ce qui me tient -disons, vivant-
pourrait bien être entre toutes choses
Tiens, la mOOn aussi ?
et ça coûte pas ...

( ou ma bouche s'essouffle
me retourne comme un sac )
Jur& crach'&,
(qui pourrait mentir ça ?)

Inutile d'y t'nir, au(x) reste(s)
le meilleur de ma peau est donné, alors...
Alors ne rien laisser derrière...
c'est ça ou l'orgueil de pas

manger ce qui se tend ...

regarde
Der Hund après les flaques
où il ne roule pas
sans y avoir pissé
relève-le sans te relever toi ...

Car enfin, être debout
c'est déjà suffisant vivant,
c'est du travail, et faire plus!
Plus,
bah... tu sais,
Geschwindigkeit oder Zeitlos,
IDEM
oder
IDEM les nuits

Weiße, nous les connaissons toutes,
hmm,
les avons nommées,
one by one,
afin d'en soustraire une nation:

1, 2 & chacune avec un nom de truc, de broc
3 & d'étoiles, enfin...

H...UND
H power du noir

... Fais-moi taire un peu,
encore, Ouvre la bouche,
de la mienne,

il doit bien rester quelque chose