Claude DEHÊTRE
Cairn

Ce poème a été publié en avril 1995 dans la Parole Vaine N°4

ESTCEPOURCETTERAISONQUI
LAEPINCLESURUNEPORTELAC
ARTEAGRANDEECHELLEDUNCA
NTONDEFORETSGOURMANDESE
LLESENCRENTLESTROISDEPA
RTEMENTSOULESSIGNESLEST
RACESSONTENGLOUTISDIGER
ESPARLESBOISQUILESCOUVR
ENTLESCAMOUFLENTLESPERDA
NTLUIFAISANTPERDRELUSA
GEDECERTAINSNOMSPROPRES
TROPPRECISQUILLUIFAUTOU
BLIEROUBLANCHIRLEURBROU
ILLANTLESPISTESLEGARANT
LEFFACANTMEMEPUISQUILEN
ESTCONVAINCUCESCHEMINSD
EXPLOITATIONCESLAIESFOR
ESTIERESCESLIGNESDECOUP
ECESTRANCHEESCESSENTIER
SCESLAYONSTOUTESCESLEVR
ESBLANCHESLEURRENTLESMA
RCHEURSLEMARCHEURABOUTD
ESOUFFLEQUINONTPASLETEM

-O noyer malingre ! - Patras ! Une prière des malingres à verpillier, un saule noir à blanchir : c'était le chant la bique, le chant malot, un chant perdu, pas une grande perte ! Désormais, il côte la danse, il donne le la, c'est un parquet vantard qui silo énormément, un Hannival conquérant qui ferme gras qui noue profit qui grand lieu noël et côte joly, un balcon bellevue, première loge sur une Marne en grève qui s'étang et bois énormément