Olivier Wattez a commencé, tardivement, à écrire lorsqu'il découvrit la revue La Parole Vaine.
        Parfois assimilé aux avant-gardes les plus babillantes à cause de son goût de la langue tordue, il refusait cependant cette assimilation; attaché aux petites mécaniques ingénieuses, c'est à la structure de ses récits, disait-il, et à elle-seule, qu'il accordait de l'importance ; ceci explique son attachement exclusif à une revue (malgré l'enthousiasme que ses textes provoquèrent ailleurs pour, disait-il, des raisons exécrables) dont l'objectif n'avait jamais été de développer cet aspect restricif  de l'écriture moderne.
Depuis la fin de la revue, O.W. n'a plus jamais publié une ligne sur papier. 
Il consacra ensuite son travail d'écrivain aux pages du Terrier.