L'ensemble de ces pièces («Colloque des oiseaux»)
était présenté dans un vis-à-vis entre
deux ordinateurs posés à hauteur de regard sur des
socles parallélipipèdiques blancs; derrière
chacun de ces ordinateurs, une sorte d'«archive plate»
illisible et foutraque, conçue avec des matériaux
cultivés, adultes, dans un classement sauvage, juvénile
(comme les murs idolâtres bardés de photos des chambres
d'adolescents). Voici à quoi ressemblait
la pièce, dans le cadre du festival Acte.
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