Avril - semaine II

Siffloter "L'Internationale" peut coûter cher
LE MONDE | 08.04.05 | 18h01

Pendant sept secondes, dans son long métrage Insurrection résurrection, l'acteur et réalisateur Pierre Merejkowsky a siffloté L'Internationale. Comme ça, au débotté. Une improvisation. Une fantaisie qui pourrait coûter cher à son producteur, Les Films sauvages.

Jean-Christophe Soulageon, le directeur, a reçu une lettre sèche, en recommandé avec accusé de réception, de la Société pour l'administration du droit de reproduction mécanique des auteurs compositeurs et éditeurs (SDRM), qui gère les droits d'auteur sur les supports cinématographiques."Au cours d'un contrôle dans les salles de cinéma, nos inspecteurs musicaux ont constaté que l'œuvre L'Internationale avait été reproduite dans le film" sans autorisation. La SDRM demande donc 1 000 euros pour avoir omis de déclarer ce sifflotement, qui constitue une exploitation illégale d'une musique éditée par la société Le Chant du monde. M. Soulageon ignorait qu'un sifflotement valait chanson. Pis, il ne savait pas non plus que L'Internationale, dont la musique a été écrite par Pierre Degeyter (1848-1932) et les paroles par Eugène Pottier (1816-1887), n'était pas dans le domaine public. Membre du Parti ouvrier français, Pierre Degeyter a composé en 1888 ce qui est devenu par la suite l'hymne du mouvement ouvrier mondial. Le compositeur meurt en 1932 à Saint-Denis, "un peu dans la misère", malgré une petite pension de l'ambassade de l'URSS, précise Hervé Desarbre, le directeur du Chant du monde.

Selon la loi sur la propriété intellectuelle, cette œuvre ne tombera dans le domaine public qu'en 2014, souligne Philippe Lemoine, responsable des autorisations audiovisuelles de la SDRM. Aux soixante-dix ans de protection post-mortem de l'artiste, s'ajoutent les années de guerre. Le producteur a tenté, en vain, de négocier, en proposant 150 euros au Chant du monde. La société d'édition musicale des "grands Russes" (Chostakovitch, Prokofiev...) aurait préféré une demande préalable. L'épisode est d'autant plus rude que Les Films sauvages ne se sont guère enrichis avec le film de Pierre Merejkowsky. Sorti le 10 novembre 2004 dans une seule salle d'art et d'essai parisienne, ce long métrage a réalisé 203 entrées.

Pourquoi Pierre Degeyter n'est-il pas mort riche ? Chaque fois que L'Internationale était chantée en public, il aurait dû toucher des droits. "L'Union soviétique violait la loi en ne redistribuant rien aux ayants droit", déplore M. Desarbre. A la SDRM, on va plus loin : dans les congrès ou les réunions politiques, les organisateurs devraient prévenir et verser des droits après avoir chanté cet hymne révolutionnaire. Alain Krivine (LCR) s'en amuse : "Je n'ai jamais donné un sou à la Sacem, d'ailleurs on décide toujours au dernier moment de chanter, ça s'est fait des milliers de fois."

*Nicole Vulser*
Article paru dans l'édition du 09.04.05


Censure sournoise, de la part de ce quotidien vendu à la solde des contre-révolutionnaires mandchous.
Laissons la propagande aux journalistes de métier, et rétablissons la vérité, nous, pauvres animateurs dévoués de la vie sociale et politique, divertisseurs sans arrières pensées.
Enjoy, or die.

M. Patalon, gouverneur de la communicazion de Franze, an de graisse 60 près zigzig.

Péter" Le Maréchal le voilà" peut faire des embêtements à çui qui le fait.
ORWELL MEIN LIBEU | 08.04.05 | 18h01

Pendant sept secondes de bonheur, sous sa couette, le pétomane Karl-Henri Gourmelon y Oignon à pété "Le Maréchal le revoilà". Comme ça, en pétant. Une fantaisie militaire filmée pour le cinéma par BHL qui pourrait coûter cher à son producteur/ directeur/ président/ exécuteur musical de l'institut franco-allemand : "Culture pour tous 2000", également première major mondiale du disque à écouter si on veut.

Karl-Henri et Jean-Poupougne Intestinal, directeur de la chorale pétomane "les tilapins" dans le film de l'autre nain, ont reçu une lettre avec un timbre à gros yeux qui les gronde, de la CNIL (Comizion Nazioanle d'Interdiczion des Libertés), qui gère les droits des industriels sur les GSM/ ascenseurs/ Hall de gares/ Fesses des pétomanes.
"Au cours d'un contrôle dans le home cinéma de Karl-Henri, nos inspecteurs SS (Sécurité-Sécurité) ont constaté que "le Maréchal le voilà" avait été reproduite par des fesses dans le film du BHL sans autorisation de Le Maréchal qui voilà. La CNIL demande donc la peine de mort (ou 10000 zlotis) pour avoir caché ce qui sort de ses fesses, ce qui constitue une exploitation fessière illégale d'une musique éditée par la société "Bruits de bottes".
Ce neu-neu de Karl Henri ignorait qu'un pet pouvait nuire. Pis, il ne savait pas non plus que ses fesses n'étaient pas dans son domaine privé. Membre de ses fesses, Lulu la Nantaise a composé en 1940 l'hymne du mouvement de libérazion mondiale. Le compositeur meurt en 1945 à Paris, "un peu tondue", malgré une résistance courageuse à l'armée d'occupation US précise BHL, le directeur de "Je suis dispersé magazine".

Selon la loi sur la propreté intellectuelle, cette œuvre ne tombera jamais le domaine des gens souligne Michel Sardou, responsable des Autorisations pour les Cerveaux des Gens. Le producteur a tenté, en vain, de s'abaisser. L'épisode (pas rigolo/rigolo) est d'autant plus rude que La chorale "les tilapins" ne s'est guère enrichie avec le film de BHL : sorti le 10 novembre 2004 dans son home cinéma, ce trop long métrage a réalisé une entrée et un suicide.

Pourquoi Lulu la Nantaise n'est-elle pas morte en Suisse ? Chaque fois que "Maréchal mon libeu" était chantée en public, elle aurait dû se toucher. À la CNIL, on va plus loin: dans les vaters ou les pissotières, les auteurs devraient prévenir et verser des droits après avoir chanté cet hymne à la liberté. L.L. de Mars (cerveau) s'en amuse : "Je n'ai jamais donné un sou à la CNIL d'ailleurs on décide toujours au dernier moment de péter et de se tripoter le biniou, ça s'est fait des milliers de fois."

Alka Seltzer y Panzer.
Article paru dans l'édition l'an 60 après zigzig.


En bref :

"La CNIL donne son feu vert à la surveillance des échanges peer to peer. Les éditeurs de jeux vidéo sont désormais autorisés à mettre en place une surveillance automatique des échanges P2P. Des sanctions pourront être prises en cas de graves infractions."

"La CNIL donne son feu vert à la surveillance des gens.
"Les catholiques sont désormais autorisés à mettre en place une surveillance automatique des échangistes. Des sanctions pourront être prises en cas de graves enculations."

Oncle Patalon


Mars - semaine III

Quelle douleur ! Pour une fois qu’un journaliste fait son travail, il interprète malheureusement une odieuse dépêche résolument anti-allemande, cynique et incitatrice à la haine, en une doucereuse et humaniste ode à la réconciliation dans le but de construire un avenir commun et harmonieux pour tous ces jeunes européens comme « les Jeunesses Umpistes » et les rappeurs à capuche jaune, mais pas que.

Tss tsss, la réalité est plus noire, oncle Patalon veille.


Oncle Patalon.


Le ventre de "une"
Lycéens allemands et français auront bientôt un manuel d'histoire commun
LE MONDE | 10.03.05 | 14h19

Une étape décisive de l'élaboration du futur manuel d'histoire commun à la France et à l'Allemagne devait être franchie, jeudi 10 mars à Berlin, par François Fillon, ministre français de l'éducation, et Peter Müller, ministre-président de la Sarre et coordinateur des Länder allemands pour la coopération avec la France, lors d'une rencontre inédite avec les responsables de la conférence permanente des ministres de l'éducation régionaux allemands. Celle-ci a la haute main sur l'éducation dans le système fédéral de l'Allemagne.

Le premier tome de ce manuel, qui couvrira la période de la reconstruction européenne après la seconde guerre mondiale, devra être disponible pour les élèves de terminale lors de la rentrée scolaire 2006-2007.

Deux autres tomes, couvrant l'Antiquité et le Moyen Age, puis l'Europe de la Renaissance jusqu'aux guerres mondiales, seront mis ultérieurement à la disposition des classes de seconde et de première.

Deux maisons d'édition, Ernst Klett (Stuttgart) et Nathan (Paris), ont été choisies après appel d'offres pour piloter l'opération. Elles ont présenté, mardi 8 mars, à Paris, le projet de plan de leur premier ouvrage aux membres de la commission d'historiens et de responsables pédagogiques des deux pays chargée de superviser l'opération.

Cette commission avait remis le 28 octobre dernier à MM. Fillon et Müller, lors du dernier conseil des ministres commun franco-allemand de Berlin, un canevas général qui devra servir de trame aux trois futurs ouvrages et décrit "une vision commune franco-allemande", en l'état actuel des connaissances relatives à l'histoire européenne depuis l'Antiquité.

Il ne s'agit pas, avaient bien souligné les membres de la commission, de faire une histoire des relations franco-allemandes, mais bien de présenter une relation commune d'une histoire commune qui a été bien trop souvent réécrite à leur manière par les Etats nationaux. Cette relation commune pourrait servir de modèle à de futurs manuels d'histoire collectifs européens.

Le synospsis présenté par les éditeurs pour le premier volume contient cinq chapitres. Le premier porte sur les mémoires de la seconde guerre mondiale et la période 1945-1949. Le deuxième sur l'Europe entre les Etats-Unis et l'URSS de 1949 à 1989. Le troisième sur l'Europe dans le monde de 1989 à nos jours. La quatrième partie traite des transformations techniques, économiques, sociales et culturelles depuis 1945. La dernière, qui donne encore lieu à discussion, est consacrée aux Allemands et aux Français depuis 1945.

Henri de Bresson


Le ventre de "la bête"
Jeunesse allemande et franzouze auront bientôt un avenir.
LE REICH | 10.03.05 | 14h19

Une étape définitive de la collaboration pour une histoire commune à la Franze et aux Zigzigs devait être franchie, jeudi 10 mars à Berlin, par Michel-Pedro Oignon y Mascarpone, ministre franzais du Jeune, et Helmut Moumoute y Casscroute, ministre-président des haricots verts et coordinateur des boutons-pressions pour la collaboration avec la Franze, lors d'une rencontre inédite dans un train avec les ministres de l'éducazion sans condizions allemands. Ceux-ci ont une grosse voix et un drôle d’accent.

Ce manuel, qui couvrira la période de la reconstruction européenne du nazisme mondial après la fin du nazisme mondial aussi, devra être obligatoire pour les élèves de parents RMIstes, immigrés depuis la 10e génération et cyclistes lors des rentrées scolaires pour 1000 ans.

Aussi, deux parcs d'attractions pour jeunes et toute la famille du jeune, couvrant les Celtes jusqu'à la destruction totale des cyclistes d'Europe, puis du rap jusqu'à la prochaine guerre mondiale, seront mis ultérieurement à la disposition du jeune.

Deux maisons d'édition, Zigzig Révizione (Berlin) et Collabo Bouriko (Paris), ont été choisies après appel d'offres pour ceci cela. Elles ont présenté, à Paris-sur-Rhin, le plan de leur premier parc d’attraction familiale « Birkeno mon Zozio » aux membres de la commission d'historiens de Lyon et de responsables en communicazion des deux zuper puissances chargées de communiquer.

Cette commission avait remis le 28 janvier 2005 à MM. Gourmelin-Rintintin et Oberschtroumf-Müller, un plan général qui devra servir d’attaque aux industriels et décrit "une vizion totale franco-allemande", en l'état actuel des connaissances relatives à l'histoire européenne depuis Rahan, fils de Crao.

Il ne s'agit pas, avaient bien martelé les membres de la commizion, de faire une histoire des vieux problèmes franzouzes-zigzig, mais bien de préparer une histoire commune de l'oubli qui a été bien trop souvent discréditée à leur manière par les cyclistes. Cette relazion commune pourrait servir de modèle à de futurs collaborateurs d'histoire, et autres promoteurs de DizneyLand.

Le storyboard présenté par les éditeurs pour le premier volume contient cinq chapitres. 1 : « Youpi le plan Marshall », 2 : « La communauté de l’anus », 3 : « Les deux trous », La quatrième partie traitant du retour du doigt et des survêtements à capuche.  La dernière, qui donne encore lieu à discussion, est consacrée à mon cul.

Jean-Louis Camembert


Mars - semaine I

Souvenez-vous, ce malheureux journaliste, qui confond tout et voit le mal partout :

La copie privée remise en question par le gouvernement Le ministère de la Culture met la dernière main à son avant-projet de loi relatif aux droits d'auteur. Pour l'association de consommateurs UFC-Que Choisir, le projet pourrait conduire à limiter considérablement le droit à la copie privée.

Stéphane Long , 01net., le 09/12/2002 à 19h03

Mise à jour : le ministère de la Culture planche sur sa nouvelle loi

Comme prévu, le CSPLA (Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique) s'est réuni, jeudi 5 décembre, pour rendre son avis sur l'avant-projet de loi relatif au droit d'auteur.
A l'issu de cette réunion, les membres du Conseil ont été invités à faire part de leurs propositions par écrit, avant le 31 décembre. Le Bureau de la propriété littéraire et artistique du ministère de la Culture poursuivra ses travaux de transposition avec l'objectif de présenter un projet de loi devant le parlement dans le courant du premier semestre.
Le CSPLA est constitué de représentants des ministères, de huit personnalités qualifiées en matière de propriété intellectuelle, de professionnels (représentants des auteurs, producteurs, éditeurs...) et de syndicats représentants des consommateurs (Union féminine civique et sociale et Indecosa-CGT).


Première publication : jeudi 5 décembre 2002 Le droit à la copie privée est en danger. La mise en garde vient de l'UFC-Que Choisir. Pour l'association de défense des consommateurs, l'avant-projet de loi relatif aux droits d'auteur, actuellement élaboré par le ministère de la Culture ( voir encadré ), pourrait conduire à limiter l'exception de copie privée accordée aux consommateurs.
Jusqu'à présent, le code de la propriété intellectuelle autorise tout un chacun à effectuer autant de copies qu'il le souhaite (CD-audio, cassette, DVD...), d'une oeuvre acquise légalement et pour un usage strictement privé. Un droit mis à mal par les systèmes anticopie En théorie, le texte à l'étude ne remet pas en cause ce principe. Mais en pratique, l'UFC-Que Choisir craint que les titulaires des droits d'auteur réduisent à un exemplaire unique le nombre de copies accordé aux utilisateurs, par le biais de dispositifs techniques limitant la duplication.
La loi prévoit en effet de légitimer les procédés anticopie, allant même jusqu'à prévoir des protections juridiques contre leur contournement. Les maisons d'édition n'ont pas attendu l'entrée en application de cette loi en France pour protéger leurs disques contre la copie. Leur système de protection, déjà en place, restreint considérablement les usages des consommateurs : impossibilité d'effectuer une copie depuis un ordinateur, de graver ses propres compilations et d'écouter la musique sur un baladeur MP3... Reste seulement la possibilité de duplication avec un graveur de salon ou de reproduction sur des supports tels que les cassettes audio ou les MiniDisc.
" Le respect des droits d'auteur ne doit pas faire obstacle au droit des consommateurs d'exercer leur liberté d'usage des matériels qu'ils achètent ", clame pour sa part l'UFC-Que Choisir.
Une remise en cause de la " taxe " sur les CD vierges Pour l'association, une autre voie consiste à utiliser des systèmes de protection permettant d'encadrer le droit de copie en limitant le nombre des duplications. Les spécialistes des systèmes anticopie expérimentent déjà ces procédés, qui pourraient voir le jour dès l'année prochaine. Encore faut-il que le nombre de copies soit clairement inscrit dans la loi, ce que demande UFC-Que Choisir.
En attendant, pour faire valoir leur droit de protéger leurs oeuvres contre la copie, les maisons de disques seraient prêtes à renoncer à la rémunération au titre de la copie privée, qui s'applique notamment à la vente des CD vierges. Reste à savoir si les sociétés qui perçoivent et distribuent cette redevance aux ayants droit seront d'accord...
Une loi européenne en attente de transposition Le texte actuellement étudié par le ministère de la Culture s'appuie sur la directive européenne du 22 mai 2001, portant " sur l'harmonisation de certains aspects des droits d'auteur et des droits voisins dans la société de l'information ". Cette directive est censée entrer en application le 22 décembre 2002. La France a pris du retard dans la transposition de la directive dans la loi française. Ce jeudi 5 décembre, le Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique, composé en majorité des représentants des ayants droit (auteurs, producteurs, éditeurs), doit rendre son avis sur l'avant-projet de loi. Après modification, le texte sera présenté au Sénat ou à l'Assemblée nationale, vraisemblablement au printemps prochain.

 

Bien entendu, Patalon veille à redonner toute la force originale, mais absente de la pauvre prose du pisse-copies ci-dessus, et ce, sans langue de bois, la preuve, 2 ans après où qu'on en est.

La musique remise en question par le gouvernement

Le ministère de la Kultur et des Sous met un dernier doigt dans son projet de loi relatif aux droits des gens. Pour l'association des cyclistes, le projet pourrait conduire à limiter considérablement le droit des gens.

Gontran Fouette-Zigzig, Signal, le 09/12/2002 à 19h03

Comme prévu, le CSIG (Conseil supérieur d'interdiction des gens) s'est réuni. Après, les membres ont été invités à manger. Le Bureau "Interdits et propagandes Kulturelles" du ministère de la Kultur présentera un projet de loi devant des amis.
Le CSIG est constitué d'inconnus des ministères, de Johnny Halliday, Christian Clavier, Jean Reno, Thierry Lhermitte, TF1, Marie-Anne Chazel, Jean-Claude Bourret, Pascal Nègre, les produits laitiers, Yves Duteil, la digueducul et Boney M, qualifiées en matière de propriété économique, de professionnels des sous et de syndicats représentants des consommateurs (MEDEF).

Le droit de siffler sous la douche est en danger. La mise en garde vient des gens. Pour les gens, l'avant-projet de loi pourrait conduire à limiter le sifflage sous la douche, le chantonnage dans la voiture, et la pratique de la guitare folk.
Jusqu'avant les fassistes, le code de la propriété intellectuelle autorisait un gens à bouiner ce qu'il voulait avec ses disques, d'une oeuvre acquise légalement ou prêtée par Jean-Louis et pour un usage strictement privé mais éventuellement aussi ses gosses, sa grosse et Jean-Louis.


Un doigt mis dans les fesses par les systèmes anticopie.

En théorie, le texte à l'étude ne remet pas en cause ce principe. Mais en fait, si : une merde sur CD achetée = un seul auditeur, une seule fois. Après il faut rendre le disque au magasin. La loi prévoit de légitimer les procédés anti-gens, allant même jusqu'à prévoir des mines anti-personnelle. Les maisons d'édition n'ont pas attendu l'entrée en application de cette loi en France pour protéger leurs disques contre la copie. Leur système de cassage de couilles restreint considérablement le bouinage des gens : impossibilité d'écouter la musique avec Jean-Louis. Reste seulement la possibilité de jouer à Jean-Louis le dernier Lori à la guitare folk. "Le respect des droits d'auteur ne doit pas faire obstacle au droit des gens d'exercer leur usage de la culture", clament les cyclistes.

Une remise en cause de l'impôt sur les CD vierges

Pour l'association, une autre voie consiste à supprimer les CDs et de construire une usine de guitares Folk. Les spécialistes des systèmes anticopie cassent déjà les couilles en limitant l'écoute d'un disque une fois, après il faut le racheter. Encore faut-il que le disque plaise aux gens pour qu'ils le rachètent, souligne UFC- Les cyclistes.
En attendant, pour protéger leurs boites de l'innovation, la création, et de faire leur métier, les maisons de disques seraient prêtes à renoncer à Johnny Hallyday, parce que bon. Reste à savoir si la SACEM sera d'accord.

Une loi européenne en attente de pénétration

Le texte s'appuie sur une directive européenne, portant "sur l'harmonisation des droits d'auteur et des droits des gens de la publicité". Cette directive est entrée en application comme par magie. FranzouzeReich a pris du retard dans la répression. Ce matin, un lapin a tué un lapin, c'était un lapin qui n'aimait pas les lapins. Après durcissement, le texte sera présenté au Sénat, à Jean-Louis ou à l'Assemblée nazionale ou à personne et ça fout, vraisemblablement très vite.

Oncle Patalon


BRÉVE:

"Universal est une grosse machine de gens qui sont à genoux financièrement et dans leur fonctionnement, et au bout du rouleau. Pascal Nègre, dont on parle sans arrêt est un industriel qui n'arrive pas à vendre de disques, en dehors des enfants* et des vieux, parce que les autres téléchargent. Cette industrie est responsable de sa propre décadence."

Ariel Wiesmann

*Comprendre les 4-35 ans

Universal est un gros flan plein de gens qui sont des foutriquets* financièrement et dans leur fonctionnement, et bout du rouleau de PQ, y faut en racheter. Pascal Nègre, qui parle sans arrêt, est un industriel qui vend très bien sa musique de singes et ses sonneries de portables pour les autistes et les centenaires. Les autres se démerdent. L'ouvrier de l'industrie des mineurs de fonds est donc responsable de sa propre décadence.

Oncle Patalon

* c'est comme des jean-foutre


Janvier - semaine III

Devant l'afflux de demandes, plusieurs communes privent de cantine les enfants de chômeurs
LE MONDE | 19.01.05 | 14h19


A Vaires-sur-Marne (Seine-et-Marne), la mairie exige "une attestation de chaque employeur des parents". La justice a déjà sanctionné de telles "atteintes au principe d'égalité".
La cantine et les centres de loisirs de Vaires-sur-Marne (Seine-et-Marne) ne sont plus ouverts à tous les enfants, et notamment à ceux dont les parents ne travaillent pas. Depuis la rentrée des vacances de Noël, "l'accès aux services municipaux tels que les restaurants scolaires des écoles maternelles et primaires, les centres d'accueil pré et post-scolaires et les centres de loisirs pour les mercredis et les vacances scolaires (pour les 3-11 ans) est strictement limité aux enfants dont les deux parents travaillent". Tel est le contenu de la lettre que la maire (PS) Danièle Querci a adressée aux parents, le 25 novembre 2004. En lettres majuscules et en gras, elle leur réclamait, dans de brefs délais, "une attestation d'activité professionnelle de chaque employeur des parents du foyer".

La commune, dont les recettes fiscales vont diminuer avec la fermeture d'une centrale EDF en mars 2005, entend ainsi faire des économies. Devant l'impopularité de sa décision, elle se veut aujourd'hui plus conciliante que ne le laissait imaginer le ton de sa lettre. "Le courrier envoyé aux parents était maladroit. Il n'est pas question de refuser des enfants de chômeurs. Mais de ne pas accepter les inscriptions de confort", y indique-t-on.

Le cas de Vaires-sur-Marne n'est pas isolé. En Ile-de-France et, dans une moindre mesure, en province, de nombreuses communes mettent en place des critères d'admission des enfants du premier degré à la cantine ou dans les centres de loisirs. Le plus souvent, elles opèrent leur sélection selon le travail des parents. Mais pas toujours. Ainsi, à Villeurbanne (Rhône), les enfants dont les parents gagnent plus d'un certain revenu sont interdits de cantine.

Toutes ces villes invoquent des contraintes budgétaires et la poussée démographique à laquelle sont confrontées les écoles primaires, après le baby-boom de l'an 2000. "Il y a vingt ans, la moitié des élèves restaient à la cantine. Aujourd'hui, ce taux peut monter à 80 %. Les écoles n'ont pas été conçues pour ça", explique-t-on également à la mairie de Créteil (Val-de-Marne), où les enfants dont les deux parents travaillent sont prioritaires en matière de restauration scolaire. "On ne l'applique que quand on a un vrai problème de place", précise-t-on dans l'entourage de
Laurent Catala, le maire PS.

"PRIVÉS D'UN REPAS"

"Une majorité des villes des Hauts-de-Seine" fonctionne sur ce modèle, note, de son côté, la section départementale de la FCPE (Fédération des conseils de parents d'élèves). C'est le cas de Colombes, depuis septembre 2003. "En 2003, on a ouvert treize classes en primaire. On ne pouvait plus assurer une restauration scolaire dans de bonnes conditions. Dans certains établissements, il fallait offrir trois services, alors que le temps affecté au repas de midi est de une heure et demie", explique-t-on au cabinet de la maire UMP, Nicole Gouetta. Face aux critiques, la commune a finalement aménagé sa formule : les enfants dont un des deux parents ne travaille pas peuvent demander une dérogation et avoir accès à la cantine deux jours par semaine. A Clichy, le règlement est le même depuis plus de trois ans. "Pour un repas, la collectivité perçoit en moyenne 1,80 euro alors qu'elle dépense entre 6 et 8 euros. Et 75 % des enfants vont à la cantine... Cela revient cher", explique-t-on dans l'entourage de Gilles Catoire, le maire socialiste de Clichy.

"Ces restrictions sont inadmissibles. Elles pénalisent les enfants qui ont le plus besoin de la cantine, et qui se trouvent ainsi privés d'un repas équilibré qu'ils n'auront pas forcément chez eux. Quand les deux parents ne travaillent pas, c'est généralement qu'ils sont en situation très difficile", juge Gilles Moindrot, porte parole du SNUipp, syndicat majoritaire chez les enseignants du premier degré. "C'est contraire au principe d'accès égal et à tous au service public", constate, pour sa part, Georges Dupon-Lahitte, président de la FCPE.

La jurisprudence va clairement dans ce sens. Plusieurs tribunaux administratifs, appelés à se prononcer sur ces limitations, les ont jugées illégales. Parmi eux, le 13 juin 2002, celui de Grenoble (Isère) a annulé les dispositions du règlement du service de restauration scolaire de la commune de La Verpillière, qui limitait l'accès à la cantine aux enfants dont les deux parents travaillent, et condamné la ville à verser 750 euros aux requérants.

Dans une affaire comparable concernant Marignane (Bouches-du-Rhône), le tribunal administratif de Marseille avait pris un jugement similaire, en novembre 1996, arguant qu'il y avait "atteinte au principe d'égalité des usagers devant le service public".

Virginie Malingre

. ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 20.01.05

Quel ramassis de sottises. Que d'erreurs d'interprétations, on croirait un journal de gauche.

Voici le corrigé :


Devant l'afflux des délations, plusieurs communes privent de cantine les enfants de chômeurs, de moulouds, de cyclistes et les barbichus.

Afin de cerner les loquedus qui forment la société Françaize, la mairie de Glaires-sur-pituite (FrançouzReich), exige "une attestation de chaque négrier des bons parents qui travaillent en PME-PMI ou mieux".
La justice, le MEDEF, les buralistes, Michel Sardou et les petits commerçants ont déjà approuvé de telles "atteintes au principe d'égalité" comme ils disent.
La cantine et les centres d'éducation en chantant de Glaires-sur-Pituite (BreihzReich) ne sont plus ouverts à tous les nanfants, et notamment à ceux dont les merdes de parents creusent le déficit zozial. Depuis la rentrée, "l'accès aux services publics tels que les restaurants scolaires, l'enseignement scolaire, la vie scolaire, les vacances scolaires, les pissotières et l'avenir est strictement limité aux nanfants dont les deux parents sont en état de marche et travaillent 39 heures par semaine". Tel est le contenu de la lettre que la maire de gauche Danièle Agauchetoute a adressée aux parents qui ont voté pour elle, le 25 novembre 2004. En lettres majuscules rouges taille 80 pts et en gras, elle leur réclamait, dans de brefs délais, "de ne plus exister".

La commune, dont les recettes fiscales vont diminuer avec la fermeture de 20 restos Mc Do en mars 2005, entend ainsi faire des économies. Devant la popularité de sa décision, elle se veut aujourd'hui intransigeante. "Le courrier envoyé aux parents n'était pas assez clair. Une nouvelle missive sera envoyée aux foyers concernés, délivrée en main propre par un gendarme et un huissier de justice pour les empreintes. Une fouille anale des nanfants est également prévue.
Il n'est pas question de refuser à ce que les nanfants de ploucs - c'est vrai - s'alimentent. Mais juste de ne pas les accepter à la cantoche s'ils ne payent pas.

Le cas de Glaires-sur-vicales est à la traîne. En Ile-de-France, en PACA et en Alsace, de nombreuses communes ont fait bien mieux. Mais pas toujours. Ainsi, à Toulon, les enfants de bourges, d'actionnaires et les gros, sont interdits de se mélanger avec les merdeux de la cantine.

Toutes ces villes de gauche invoquent des contraintes budgétaires et la poussée démographique à laquelle sont confrontées les écoles primaires, après le baby-boom de l'an 2000. "Il y a vingt ans, la moitié des élèves restaient à la cantine. Aujourd'hui, ce taux peut monter à 80 %. Les écoles n'ont pas été conçues pour ça", explique-t-on également à la mairie de Créteil (Val-de-Marne), où les enfants dont les deux parents travaillent sont prioritaires en matière de restauration scolaire. "On ne l'applique que quand on a un vrai problème de place", précise-t-on dans l'entourage de Laurent Tralala, le maire de gauche aussi.

Note d'oncle Patalon : "sur ce dernier paragraphe, il n'y avait aucune fautes, seulement deux coquilles, et c'est heureux".

"Ces restrictions sont géniales. Elles pénalisent les enfants qui ont le plus besoin de la cantine, et qui se trouvent ainsi privés d'un repas équilibré qu'ils n'auront pas chez eux. Et pas besoin de construire de nouvelles infrastructures. On devrait en éliminer pas mal comme ça", juge Manolo Gromouton y Lardons, porte-parole du SNUippPoingTaGada, syndicat majoritaire chez les gens. "C'est raccord au principe d'accès payant et à tous au service public", constate, pour sa part, Georges Trique et bourre, roi de Franze.

Dans une affaire comparable concernant Marignane (Bouchées-à-la-Reine), le tribunal administratif de Marseille avait pris un jugement similaire, en novembre 1996, arguant que "heureux ceux qui croient ce qu'ils voient car le royaume des yeux leur est ouvert".

Les restaus du coeur sont du coup débordés. Ils pensent appliquer les mêmes restrictions.
Poil au fion.

Demis Roussos.

. ARTICLE PARU MAIS DE TOUTES FAÇON TOUT LE MONDE S'EN FOUT.


Janvier - semaine I

Mon gars de Mars embête les gens avec ça :

Chers tous, qu'est-ce que je lis dans ma boîte aux lettres?:

« L'animateur de télévision Ariel Wizman est le porte-voix d'une campagne de sensibilisation lancée mardi pour mettre en garde les internautes contre les risques du téléchargement illégal de musique. Un message lu par l'animateur va être envoyé aux "internautes pirates" par l'intermédiaire de fichiers émissaires adressés aux différents logiciels d'échange. Ce message sera inséré dans le morceau de musique avec l'autorisation des artistes interprètes. Résultat : l'internaute aura échoué à télécharger son morceau, interrompu par le message, et il sera mis en garde contre d'éventuelles poursuites judiciaires. "Vous venez de tenter de télécharger un fichier musical protégé. Ce faisant, vous faites courir des dangers (...) aux artistes et à l'industrie musicale", affirme le message. "Vous pouvez facilement être identifié et poursuivi devant la justice par les ayants droit; vous risquez aussi d'attraper un virus informatique", met-il en garde. "Pour profiter de la musique en toute liberté, il existe des solutions de téléchargement légales et sans risques", affirme-t-il. Pendant cette campagne, qui durera deux mois, près de 100.000 fichiers émissaires vont être diffusés sur internet. Ce projet a pu être réalisé grâce à la collaboration entre les fournisseurs d'accès à internet, qui apportent leur espace serveur, et les ayants droit de la musique, qui fournissent les fichiers support.»


Le pauvre chéri, il s'est trompé et a lu la version crypto-communiss.

Il fallait lire :


« L'animateur de pub télé Oberschtroumph Helmut est le pitit caniche d'une campagne de vaccination lancée mardi pour mettre en garde les types contre les risques du téléchargement de musique de merde. Une posologie lue par pépère va être envoyé aux gens et aux cyclistes par l'intermédiaire de fichiers meupeutroy adressés aux différents logiciels d'échange de gens à gens en toute liberté et qui s'aiment au point qu'ils partagent tout.

Ce message sera inséré dans le morceau de musique de singe toute pourrie avec l'autorisation des artiss interprètes avocats, le petit Jésus et Dieu.
Résultat : l'internaute aura échoué à télécharger son morceau, c'est ballot, mais aura vomi tout son veau interrompu par le message en allemand, et il sera mis en garde contre d'éventuels ulcères et acouphènes. "Vous venez de tenter de télécharger une grosse merde bien naze de musique protégée par un artiss. Ce faisant, vous faites courir des dangers (...) à votre intelligence, vous perdez du temps, enquiquinez les artiss, et renforcez la présence de caries au niveau bucco-dentaire", affirme le message. "Vous pouvez facilement être identifié et pendu devant des gens qui applaudissent avec Michel Drucker ; vous risquez aussi d'attraper un virus au niveau de la bite", met-il en garde. "Pour profiter de cette crotte en toute liberté, il existe des solutions de téléchargement légales et sans capote", affirme-t-il. Pendant cette campagne, qui durera pour toujours, près de 100.000.000 fichiers émissaires vont être diffusés sur Internet et du coup vont bien foutrent la zone au niveau de l'encombrement d'Interprout, "la grande poubelle cosmique"*. Ce projet a pu être réalisé grâce à la Collaborazion, le CNICFAGCM (Comité Nazional Industriel des Collabos et des Fournisseurs d'Accès au Grand Caca Mondial), johnny halliday, Karen Shéryl, le groupe Abba et les ayants droit de vie et de mort sur la kulture, de sa diffusion et de son exploitation, qui fournissent les supermarchés et chopi.»

* expression comique par L.L.d.M.


Par ailleurs, L.L.d.M., très colère, avait tenté une patalonade pas très concluante, malheureusement :

Télécharger des mp3s sur Emule détruit la flore intestinale, tue les chiens, fait mal au petit Jesus et fait pousser des croûtes autour du gland.
Si vous diffusez le message d'Ariel Wizman, vous aurez plein de gateaux et des amis très amusants; si vous continuez à télécharger des mp3, vous aurez des maladies assez sales et vous deviendrez de droite à chaque pleine lune.
Philippe D.J. (Fontenay sous Moi) a détruit tous les mp3s qui trainaient sur son disque dur et sa femme qui les écoutait: il a gagné un voyage en Irak avec Pascal Obispo dans un silo à missiles climatisé pour un mois. Éric L. (Trou sur Trou) a mangé un mp3 qu'il n'avait pas payé: sa maison a été envahie par des coiffeurs et une abominable cravate avec des chiens rigolos lui a poussé au cou.
Fançois C. (Fond-Du-Couloir-à-Gauche) a brûlé son ordinateur pour ne pas succomber à la tentation: son salaire a augmenté de deux tapes amicales dans le dos, il n'a pas vomi son réveillon et il est devenu miraculeusement sourd au moment ou serge Dassault passait à la radio.
Marine R. (Belin sur Biscuit), infirmière, a téléchargé clandestinement "Mange ta poire", le tube de Magali Pette; elle a glissé dans le patient n°12, s'est écrasé contre la pompe à oxygène et a explosé en vol trente mètres derrière le funérarium.

Attention, le peer 2 peer a été inventé par Saddam Hussein pour détruire l'occident, ruiner le marché de notre glorieuse musique qui rend intelligent pour la remplacer petit à petit par des solos de sitar de trois heures et faire pousser le voile à vos femmes, vos enfants et vos animaux catholiques.

Si vous continuez sur cette voie de péché, Florent Pagny va mourir de faim et ce sera de votre faute. Arrêtez tout. Écoutez France Inter.
Travaillez 39 heures payées 12, votez à droite et envoyez vos dons à Florent Pagny.

L.L. de Mars


Décembre - semaine IV

Rhôôôô la belle interview :

LE MONDE - EDITION DU 02.07.03

M. Seillière : "Un vent de réforme souffle, mais pas assez fort"

Satisfait du projet sur les retraites, le président du Medef estime, dans un entretien au Monde, que la France est devenue un pays "réformable" où "le gouvernement, l'administration et une partie de l'opinion s'enhardissent". Mais selon lui, M. Raffarin aurait dû aller "plus vite".

Le texte de cet entretien a été relu et amendé par M. Seillière.

L'Assemblée nationale achève l'examen du projet de loi sur les retraites. Que pensez-vous de la méthode employée par le gouvernement ?

La nécessité de réformer les grands systèmes sociaux, le premier d'entre eux étant la retraite, s'est imposée.

Le gouvernement a donc avancé, selon sa méthode. Il a cerné les contours de sa réforme au terme d'une période qu'il a voulue longue (concertation, consultation, négociation), ce qui a déclenché des réactions sociales fortes. Il a tenu tranquillement sa position, jusqu'à ce que la réaction s'apaise et que le Parlement donne au projet sa forme législative. Pour la première fois depuis des décennies, la volonté de réforme d'un gouvernement l'emporte sur la somme des réactions négatives, corporatistes, extrémistes, de refus et de blocage. Dans l'histoire économique et sociale de notre pays, c'est une page qui se tourne. Nos idées, lancées avec la refondation sociale en 2000, ont porté.

Vous jugiez la société française difficile à réformer. Elle l'est donc aujourd'hui...

Ce qui s'est passé sur les retraites montre que l'opinion est prête, aujourd'hui, à des évolutions. Oui, nous sommes dans un pays réformable, qui reconnaît que l'organisation sociale "modèle 1945" doit évoluer.

La méthode du gouvernement peut-elle s'appliquer à d'autres dossiers ?

A la faveur de cette première réforme, le gouvernement, l'administration et une partie de l'opinion s'enhardissent. A l'opposé, la méthode du blocage assortie de grèves et de manifestations se dévalorise. Ce mouvement prend place dans un contexte européen : réforme de la politique agricole commune, réforme des institutions, réforme en Allemagne. Et l'accord modifiant le régime des intermittents du spectacle, signé avec la CFDT, la CFTC, et la CFE-CGC, montre qu'un vent de réforme souffle, même s'il n'est pas encore assez fort.

Pourtant, le gouvernement ne semble pas vouloir choisir entre ceux qui "s'enhardissent" et ceux qui "bloquent". M. Raffarin souhaite même "l'apaisement social"...

Le gouvernement a sa méthode, son style, son calendrier. A l'évidence, il a choisi la voie de la réforme, alors que le gouvernement de Lionel Jospin s'y opposait, même si le Medef regrette qu'il ne se soit pas engagé plus tôt et qu'il n'y soit pas allé plus fort et plus vite.

Le plan Fillon n'est financé que pour un tiers à l'horizon 2020. Faudra-t-il augmenter les cotisations retraite ou allonger encore leur durée ?

La réforme ne traite qu'une partie du problème. En 2008, nous retrouverons les syndicats, le gouvernement et l'opinion pour décider de la suite. Le gouvernement fait confiance à la croissance et à la démographie française pour alléger la charge des indemnités chômage et faciliter ainsi le financement des retraites. Nous jugeons cette perspective aléatoire.

Dans quel état d'esprit abordez-vous les négociations sur l'emploi des seniors, la pénibilité du travail et la formation ?

Nous avons proposé, avec quatre syndicats sur cinq, une réforme profonde des voies et des moyens de la négociation sociale, qui prévoit un encouragement fort à la négociation sociale dans l'entreprise, quelle que soit sa taille. Nous souhaitons qu'elle se déroule aussi bien avec des délégués du personnel que des mandatés syndicaux, et que celle-ci puisse être dérogatoire à l'accord de branche ou interprofessionnel. A condition qu'elle corresponde à une volonté majoritaire dans l'entreprise et qu'elle n'aille pas contre la loi.

Le Medef est-il prêt à faire des concessions aux syndicats sur la formation professionnelle ?

Il y a, en France, un déficit de formation. Elle est surtout développée dans les grandes sociétés et bénéficie aux salariés qualifiés. On doit installer l'obligation de formation dans toutes les entreprises. Elle est aussi nécessaire que l'investissement pour assurer la productivité. Nous devons donc développer un droit individuel à la formation offrant un certain nombre d'heures à chaque salarié. Pour que ce droit concerne l'ensemble des entreprises, il faut inciter les salariés à le mettre en ¦uvre en dehors du temps de travail déjà limité par les 35 heures. C'est ainsi que l'on généralisera la formation.

Ne faut-il pas réformer d'urgence l'assurance-maladie ?

Si, mais le système de santé n'est pas de la responsabilité des entrepreneurs. C'est un problème national. Son financement est assis sur des cotisations, mais aussi sur une contribution fiscale. Le Medef prendra la part que la révision des relations entre l'Etat et les caisses définira, mais quand il connaîtra clairement les axes d'une réforme conduisant à un système efficace et compatible avec les équilibres financiers.

Faut-il légiférer sur le service minimum ?

Le modèle "grève des services publics, blocage de la vie économique" empêche la France de construire sa croissance. Réglementer le droit de grève dans le service public est aujourd'hui souhaité par une partie croissante de la population. Le droit de grève est fondamental, mais il est réglementé dans tous les pays du monde. La continuité du service public est une question d'intérêt général sur laquelle doit se concentrer la volonté du législateur et des partenaires sociaux.

Après la réforme des retraites, quels enseignements tirez-vous sur l'évolution des syndicats ?

Nous avons un syndicalisme réformateur sur le modèle européen, qui accepte d'entrer en négociation, analyse et reconnaît la situation, identifie le domaine du possible et contribue à la réforme. Dans un paysage syndical français en forte évolution, trois organisations sont sur cette ligne : la CFDT, la CFTC et la CFE-CGC. Force ouvrière, dont c'est pourtant l'histoire, en est pour l'heure absente. Quant à la CGT, elle mène un travail interne de réflexion et de réforme. Sur les retraites, elle a cherché sa voie, entre une volonté de résistance, de refus et une relative reconnaissance de la fatalité de la réforme.

Propos recueillis par Rémi Barroux et Jean-Michel Bezat

M. Fillon annonce une négociation sur la "Sécu"

Le boss était pas content, voici ses véritables propos :

LE MONDE - EDITION pour longtemps

M. Patron : "Avec mon anus joli, j'ai pété et un vent de réforme souffle, mais pas assez fort"

Satisfait du projet sur les cyclistes, le président des patrons estime que la France est devenue un pays "jetable" où "extrême droite, la propagande et une partie de l'opinion s'enhardissent". Mais selon lui, M. El Gringo Raffarino aurait dû aller "plus vite avec son gros popotin de pécore".

Le texte de cet entretien a été apprécié par M. Patron.

-L'Assemblée nazionale achève d'une balle l'examen du projet de loi sur les cyclistes. Que pensez-vous de la virile méthode employée par ce gouvernement bien membré quand même ?

-Mon général, la nécessité de supprimer les grands systèmes cyclistes, le premier d'entre eux étant la retraite de ces andouilles, c'est bien, non ?

- Le gouvernement a donc sodomisé, selon ma méthode de sodomisation. Il a cerné au feutre les contours pour qu'on voille bien où il faut taper, au terme d'une période qu'il a voulue longue et bien dure, ce qui a déclenché des réactions sociales mollasses au début, puis inexistantes. Il a tenu tranquillement son vit, jusqu'à ce qu'il vous le glisse ici et là, avec la bénédiction du Parlement et des gens du troupeau.
Pour la première fois depuis la guerre, ma volonté d'un gouvernement l'emporte sur la somme des loquedus, neusneus, "sevice feignouzes", cyclistes, de ces sacs à prout de franzouzes. On leur a tellement bourré le mou, on les a tellement effrayé avec leur futur de chiotte... J'ai tellement la trique. Dans l'histoire économique et industrielle de mon pays, c'est une page qui se tourne avec laquelle je m'essuie, mon ami.

- ha ha ha

- Hu hu hu

-Vous jugiez la société franzaise difficile à empapaouter. Elle l'est donc aujourd'hui...

- Ce qui s'est passé sur les retraites des ces zinzins montre que l'opinion est comme un gros flan aux oeufs. Oui, nous sommes dans mon pays, qui reconnaît que l'organisation sociale "modèle 1945", (ce n'est pas ma marque préférée), doit être supprimée pour revenir au modèle 1933, (ma marque préférée).

- La méthode du gouvernement peut-elle s'appliquer à d'autres dossiers, chef ?

- Ben oui : ce mouvement prend place dans un contexte européen : réforme de la politique, réforme des institutions, réforme en grande Allemagne éternelle. Et l'accord modifiant le régime des intermittents du spectacle, signé avec les collabos syndicalistes mous des fesses, montre que mon prout souffle, même s'il n'est pas encore assez fort, mon prout.

- Pourtant, le gouvernement ne semble pas vouloir choisir entre ceux qui "niquent" et ceux qui ont "niqueront". M. Raffarino El Gringo souhaite même "le lexomil social"...

- Le gouvernement a ma méthode, mon style, son calendrier, car les gens votent en 2007. A l'évidence, il a choisi ma voie, alors que le gouvernement de Lionel Jospin était ramollo du cul.

-Le plan Fillon Dubois n'est financé que pour un tiers à l'horizon 2020.
Faudra-t-il augmenter les cotisations retraite des cyclistes ou cotiser pendant 120 ans ?

- Le gouvernement fait confiance à la capacité de reproduction des Françouzes pour payer les retraites des futurs merdeux. C'est naze : je vois mal ces oisifs, satisfait de leur vie, étriqués du bonnet, ces bovins de françouzes se mettant à copuler comme pas deux dans le seul but de repeupler le FrankReich, alors que sortent les DVD haute définition et les derniers modèles de Peugeot : "avec ma Peugeot, tout les jours j'ai l'air d'un veau" !

- Dans quel état d'esprit abordez-vous les négociations sur l'emploi des seniors, la pénibilité du travail et la formation ?

- Décontract-man.

-Le Medef est-il prêt à faire des concessions aux syndicats sur la formation professionnelle ?

- Il y a, en France, une fracture sociale.

-Ne faut-il pas réformer d'urgence l'assurance-maladie ?

- Vi, Le franzais n'est réparé que si il paye.
Point.

- Faut-il légiférer sur le service minimum, boss ?

- Le modèle "grève des feignasses, blocage de ma vie économique" empêche ma France de construire ma croissance. Supprimer le droit de grève dans le service public - sauf le dimanche - est aujourd'hui souhaité par une partie croissante de mes copains. Le droit de grève est fondamental, mais il est en voie de disparition dans tous les pays de notre monde, avec mes potes.
La disparition du "service feignasse" est une question de mon intérêt général sur laquelle doit se concentrer la volonté du gouvernement s'il ne veut pas que je lui foute la honte dans la télé.

- Après la réforme des retraites, quels enseignements tirez-vous sur l'évolution des syndicats ?

- C'est si beau qu'on dirait des collabos.

Propos recueillis par Jean-Claude Lèche et Jean-Guy Mollasse

 


Décembre - semaine III

Mais qu'est ce que c'est que ces conneries que je lis ?

POLITIQUE CULTURELLE
La salle Pleyel rachetée par l'Etat
LE MONDE | 09.11.04 | 14h04

La salle sera louée cinquante ans puis cédée pour 1 euro symbolique. L'Etat rachète Pleyel. Le ministre de la culture et de la communication, Renaud Donnedieu de Vabres, a annoncé, lundi 8 novembre, la signature d'un contrat de bail entre Hubert Martigny, le propriétaire de la salle Pleyel via la société IDSH, dont il est président, et la Cité de la musique, établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC). Cet accord, assorti de clauses de dénonciation avant terme ou d'acquisition anticipée, prévoit un bail de cinquante ans pour un loyer annuel de 1,5 million d'euros, au terme duquel, en 2054, la salle de concert et l'immeuble de la rue du Faubourg-Saint-Honoré (Paris-8e) deviendront propriété de l'Etat pour un euro symbolique.

AMÉLIORER L'ACOUSTIQUE

Le ministre de la culture parachève ainsi l'action entreprise par son prédécesseur, Jean-Jacques Aillagon, moins d'un an après la signature, le 8 décembre 2003, d'un premier protocole d'accord prévoyant un simple bail locatif d'une durée de vingt ans, au prix annuel de 1,8 million d'euros.

M. Martigny avait acheté la salle Pleyel au Crédit lyonnais sur ses fonds propres, en 1998, pour 65 millions de francs (10 millions d'euros). Sa mise en examen, le 21 juillet, pour "diffusion d'informations trompeuses, présentation de comptes inexacte, faux et usage de faux" dans l'affaire qui oppose l'Association des petits porteurs d'actifs (Appac) à Altran Technologies, dont il est vice-président, et sa mise en liberté sous contrôle judiciaire, moyennant une caution de 3 millions d'euros, n'ont pas perturbé la signature du bail et la réouverture annoncée de Pleyel à l'automne 2006 - la salle est fermée depuis le printemps 2002.

Comme convenu précédemment, c'est au propriétaire, M. Martigny, que revient la prise en charge de l'intégralité des travaux de rénovation de la salle, estimés en juin à 23 millions d'euros : amélioration de l'acoustique, meilleur confort d'accueil du public et des espaces professionnels.

Le premier coup de pioche devrait être donné d'ici au 1er janvier 2005, sous la conduite de l'architecte François Ceria et du cabinet Artec pour la partie acoustique et scénographique.

Confiée de fait à Laurent Bayle, l'actuel directeur général de la Cité de la musique, dont le contrat devrait être renouvelé en décembre 2004, la nouvelle direction de la salle accueillera en résidence, à parts égales, l'Orchestre de Paris, dont le bail au Théâtre Mogador s'achève à la fin de la saison 2005-2006, et son directeur artistique, Christoph Eschenbach, ainsi que l'Orchestre philharmonique de Radio-France dirigé par Myung-Whun Chung.

Soucieuse de sa mission de service public liée à la diversité des publics et d'une bonne coordination avec les autres institutions musicales parisiennes, la programmation devrait accueillir les orchestres français - parisiens et régionaux -, les grandes phalanges étrangères, ainsi que des producteurs privés (un quota de 20 à 30 concerts par an). On devrait être fixé d'ici la fin de l'année sur le mode d'administration de la salle, qui pourrait être gérée directement par la Cité de la musique. Les recettes devront couvrir 70 % du budget artistique.

"DANS LE CAMP DE DELANOË"

L'ancien ministre de la culture, Jean-Jacques Aillagon, en son temps, avait affirmé que le projet de location de Pleyel "n'obérait en rien la construction d'un grand auditorium parisien dans quelques années" et que "la balle était désormais dans le camp du maire de Paris, Bertrand Delanoë". Interrogé sur LCI lors d'un récent voyage en Chine, Bertrand Delanoë a affirmé qu'il allait "prendre ses responsabilités".

Marie-Aude Roux

Voilà ce qui arrive quand c'est le journaliste des Entreprises & multinationales hebdo qui rédige le papier sur la Kulture. Il fallait lire :


POLITIQUE KULTURELLE
La Kulture rachetée par l'Etat

LE MONDE | 09.11.04 | 14h04

La Kulture sera louée un an puis lourdée pour 1 centime d'euro symbolique et un ticket restaurant.

L'Etat rachète la Kulture. Le ministre des petits fours et de la Kommunication, Renaud-Johnny Donnedieu de Denise Vabres, a annoncé en slip la signature d'un contrat de sommeil entre Hubert Toldbretch, le propriétaire de la kulture via la société BOMBINETTE, dont il est président, et la Cité de la musique d'operette, établissement privé de caractère avec vue (EPCV).
Cet accord de do majeur dans ton cul, assorti de clauses de collaboration, prévoit un lexomil, pour un loyer annuel de 0,0000001 miyon d'euros, au terme duquel, en 2005, la kulture et le T2 de la rue du Faubourg-Saint-Honoré (Paris-8e) deviendront propriété de Bernadette Chichi impératrice pour une pièce si jaune, mais déjà ponaise.

AMÉLIORER LES MOUSTIQUES
Le ministre de la coupe de Dompérignon parachève ainsi l'action militaire entreprise par son prédécesseur, Jean-Jacques Rouland, moins d'un an après la signature, le 8 décembre 2003, d'un premier protocole d'accord prévoyant ceci-cela pour une durée que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître.

M. Martigny avait acheté la Kulture au zallemands sur sa bonne mine, en 1998, grace à la vente de l'Autriche à la Suisse. Sa mise en examen, le 21 juillet, pour "vente de pays illégalle, présentation de comptes mals rasés, faux et usage d'une faux" dans l'affaire qui oppose l'Association des cyclistes en slip (ACS) à El Gringo Raffarino Technologies, dont il est très content, et sa mise en liberté moyennant une caution proche du PIB de l'Angola, n'ont pas perturbé le repas et la réouverture annoncée de la Kulture un jour - le salon de la Kulture et du macramé est fermé depuis le 21 mai 2002.

Comme convenu l'autre jour, c'est au propriétaire de plein de trucs, M. Bill Gates, que revient la prise en charge de l'intégralité des travaux de domotique de la Kulture : amélioration des moustiques, meilleur lisibilité des trucs avec index bien sur, et le choix dans la date.

Le premier coup de boule devrait être donné d'ici au 1er janvier 2005, sous la conduite de l'architecte François Cagalapin et du cabinet "Toilette 2000" pour la partie des moustiques et autres.

Confiée de fait à Robert Moulachion, l'actuel directeur général de la Cité des moustiques, la nouvelle direction accueillera en résidence, "Vivement dimanche", donc je baille, et m'achève à la fin, des cyclistes, un japonais, ainsi que l'Orchestre philharmonique de Atais Shouaits dirigé par Myung-Whun- Aammmumm-aaaa tchoung.

Soucieuse de sa mission de service public blablabla liée à la diversité des publics de bourre-mon-cul d'une bonne coordination prout avec les autres institutions de cyclistes, la programmation devrait accueillir des trucs en macramé.

"DANS LE CAMP SOUS LA TENTE AVEC BERTRAND IVANOË"

L'ancien ministre de la Kulture, Windows Ixpé de Vivendi, en son temps, avait affirmé que le projet de location de la Kulture "n'obérait en rien la gonstruction d'un macdo barisien dans guelques jours" et que "la baballe était désormais dans le baire de Baris, Berdrand Ivanoë".
Interrogé sur un chval lors d'un récent voyage en Mongolie, Ivanoë a affirmé qu'il allait "descendre de chval".

Maurice Flapi.


Décembre semaine III

un addendum du professeur De Jupe, célèbre collaborateur d'Oncle Patalon

Par mégarde, un lecteur inattentif des pages littéraires du Terrier a envoyé à notre équipe une lettre recommandée par sa maman pour devenir notre copain:

Bonjour !

Je m'appelle pascal pacaly, j'habite lyon, et je viens de publier un recueil de poesie et nouvelles , "L'Amour-Eux", chez la Bartavelle editeur, à charlieu, dans la loire (42). Membre de la Société des Poetes et Artistes de France (SPAF) et de la Sélyre (association d'écrivains lyonnais) , je participe a de nombreuses fêtes du livre et suis en contact avec des groupes musicaux en vue d'adaptation de mes textes en chansons (Richard Montaillard, jazzman - Flinz, groupe de pop rock...).Je participe aussi a de nombreuses fêtes du livres comme celle de saint etienne, lyon ou champagne-au-mont-d'or( toutes en 2002, 2003 et 2004).

Je me demandais s'il etait possible d'avoir un petit écho ou critique dans votre site (article? portrait, interview?) ou alors faire paraitre un des poemes que je vous envoie (sous format word)

je vous invite également a faire un tour sur le site http://catchthedream.free.fr pour vous faire une idee des autres poemes.

Quand a la nouvelle du recueil, elle pourrait etre resumé ainsi :il s'agit d'un personnage de 15 ans, dont l'adolescence est solitaire en tt point et qui ne comprend pas la société qu'on lui propose. La froideur et son absence d'envie de vivre sera compensée par l'arrivée de justine, son amie de college a qui il a devoué tout son amour, tant sentimentale que charnelle, mais justine existe t elle vraiment ou est ce son imagination qui lui joue des tours ?)
Une exposition de peinture-poesie aura lieu a lille du 4 au 11 février ou la peintre surréaliste Vanessa Lheureux a eu la gentillesse d'accepter d'illustrer mes textes et poemes.
Je me permets de vous faire parvenir en piece jointe un fly-pub, des poemes recueil ainsi qu'une nouvelle.
N'hesitez pas a me contacter pour plus de renseignements !

Le petit étourdi a oublié de se relire, il fallait évidemment confier son courrier à notre correcteur, ce qui fut fait:

Bonsoir

Je m'appelle Philippe De Jonckheere, j'habite à Fontenay-sous-Bois, en banlieue parisienne et je ne parviens pas à faire publier un roman que je viens d'écrire et qui s'intitule
"une Fuite en Egyte", une histoire d'amour où il est beaucoup question de masturbation (mais j'aime aussi beaucoup le golf et étrangler des animaux).

Je ne suis membre d'aucune secte, je participe tous les ans à "Lire en fête" à l'espace des Blancs-manteaux à Paris où personne ne peut, soit m'entendre, ou soit voir ce que je fais sur un écran géant de la taille d'un timbre poste. Sonny Rollins a décliné de mettre en musique mon dernier texte de 600 pages, c'est qu'il est plus tout jeune Sonny, il doit manquer de souffle en ce moment, six-cent pages c'était peut-être de trop!
Sacré Sonny!

Je me demandais s'il serait possible que vous vous fassiez l'écho de l'indifférence complète qui entoure mes productions (un article, une petite chronique, un portrait, si possible pas de profil) ou alors faire paraître mon très long et très ennuyeux roman, préférablement aux éditions de minuit en utilisant votre entregent.

Je vous invite également à visiter le site http://www.desordre.net sur lequel vous trouverez de nombreuses photos amateurs de mes enfants niais. Pour que vous vous fassiez une idée.

Quant à l'intrigue de mon roman, elle pourrait être résumée ainsi: "une femme meurt dans un accident de voiture, c'est la mienne, je veux dire de femme, de voiture aussi d'ailleurs, du coup, fraîchement aveuvé, j'en profite pour sauter au cou de l'ancienne compagne de mon meilleur ami, tout en me masturbant fréquemment en repensant à mon ancienne femme morte dans cet accident de voiture. A la fin on se demande tout de même, tandis que je joue au kapla avec mon fils, si mon imagination ne me joue pas des tours."

Une exposition de Daphné Bitchatch aura lieu chez elle, dans son grand appartement parisien, où elle illustrera de son installation intitulée "le funambule" une de mes nouvelles, intitulée "le rêve de la femme funambule"

Je me permets de vous joindre attaché à ce mail un petit fichier image de 20 megs, photo de nos dernières vacances dans les Cévennes avec ma famille, parce que j'aimerais beaucoup que vous m'aidiez à en faire ma carte de voeux cette année, parce que ja panouille un peu sous Xpress.

Surtout n'hésitez pas à m'envoyez du spam, spam, spam ou alors du homard Thermidor et ses crevettes cuites dans une sauce Mornay à la provençale aux échalotes et aux aubergines garnies du pâté de truffe, cognac et son oeuf frit et du corned-bîf sur le dessus.

Amicalement

Phil, oui appelez-moi Phil ce sera plus cordial.

Phil De J.



Décembre - semaine II

Mais que lis-je?:

« Jizo, une petite divinité qui aide les Japonais à ne pas salir le bord des routes

LE MONDE | 06.12.04 | 14h51

Tokyo de notre correspondant

Le Japon a la réputation d'être un pays propre. A juste titre. Mais ses habitants n'en sont pas moins désormais quelque peu sans gêne, notamment avec la nature : le mont Fuji, montagne vénérée s'il en fût, est parsemé de canettes, de bouteilles en plastique et de détritus divers laissés par les alpinistes amateurs qui en font l'ascension. C'est également le cas du bord des routes, souvent jonché d'ordures jetées par les automobilistes.

Pour enrayer ces pratiques, une petite commune de 5 000 âmes, Nagato, dans le département de Nagano, au centre du Honshu, a trouvé une solution "miraculeuse" : elle a installé aux abords de ses parcs de stationnement et le long de la route menant aux stations de ski dont cette région est riche trois statuettes de Jizo, un petit bodhisattva aimé de tous. Attachant et familier, Jizo est la figure du panthéon bouddhique la plus chère aux Japonais. Son image la plus répandue est celle d'un moine au visage doux et au crâne rasé, vêtu d'une longue robe et tenant à la main une canne. Souvent coiffée d'un petit bonnet rouge tricoté et portant un bavoir autour du cou, cette divinité des croisements, honorée aux bornes des villages, est devenue le patron de l'enfance et elle a pris dans le sentiment religieux japonais une place primordiale. Inopinément, au détour d'un chemin de montagne, on tombe sur un petit autel qui lui est dédié, au pied duquel sont parfois déposées des offrandes.

Croyants ou non, les Japonais partagent un sentiment de religiosité flottante, mais néanmoins bien ancré dans les mentalités. Personne ne se moque de ce fond de croyances ancestrales, et beaucoup y cherchent un apaisement aux inquiétudes de la vie.

Apparemment, à Nagato, la présence des Jizo est plus efficace que les panneaux d'interdiction et dissuade les touristes de laisser les restes de leurs pique-niques sur le bord de la route.

"Je ne peux pas jeter mes déchets avec un Jizo qui me regarde", dit un automobiliste interrogé par la chaîne NHK, qui a présenté l'initiative de la petite commune. Selon le commentaire, en quatre mois les déchets ont presque totalement disparu. A la mairie, on est plus prudent : les premiers résultats sont encourageants, mais la saison de ski ne fait que commencer.
Alors, on "croise les doigts" et l'on s'en remet aux bons offices des Jizo...

Philippe Pons »

Notre correctrice a mélangé 2 articles. Voici l'original restauré :

« Apopo, une petite merdouille qui aide les zallemands à ne pas se salir.

NOTRE MONDE | 06.12.10 | 14h51
Viennes, de notre collaborateur.

L'empire allemand a la réputation d'être un pays propre. À juste titre. Mais ses fiers habitants n'en sont pas moins désormais quelque peu ollé-ollé quand même, notamment avec leur nature : le mont Ladsus, montagne vénérée par les cyclistes s'il en fût, est parsemé de canettes, de bouteilles de schnaps et de tracts divers laissés par les cyclistes amateurs qui en font des cocottes en papir. C'est également le cas du bord des autobahns nazionaux, souvent jonché d'ordures de gauche jetées par les automobilistes.

Pour encourager ces pratiques, une petite commune de 5000 blonds, Beßtagen, dans le département de Berkestadt, au centre de mon cul, a trouvé une solution "socialiste" : elle a installé aux abords de ses parcs de stationnement et le long de la route menant aux stations de rééducation dont cette région est riche trois statuettes de Apopo, un petit potelé moustachu aimé de tous. Attachant et familier, Apopo est la figure du maître millénaire suprême éternel la plus chère aux zallemands. Son image la plus répandue est celle d'un moine au visage décidé et au crâne rasé, vêtu d'une culotte de chval et tenant à la main une schlague. Souvent coiffée d'un petit casque noir tricoté et portant un bavarois autour du cou, cette divinité, (artiste à ses heures), des croisements austro-hongrois, honorée aux cul des villageoises, est devenue le patron de l'enfance, celle qui montrera l'exemple, et elle a pris dans le sentiment nazional une place primordiale. Inopinément, au détour d'un chemin, on tombe sur un petit cimetière.

Croyants ou nazis, les Zig-zig partagent un sentiment de "rentrer dans ton cul", mais néanmoins bien ancré dans les mentalités. Personne ne se moque de ce fond de croyances celtes, et beaucoup y cherchent une revanche aux inquiétudes de la vie.

Apparemment, à Beßtagen, la présence des Apopos est plus efficace que les lois et dissuade les cyclistes de laisser leurs restes sur le bord de la route.

"Je ne peux pas jeter mes déchets avec un Apopo qui me regarde", dit un gros type interrogé par la chaîne ZIG, qui a présenté l'initiative de la petite commune. Selon le Oberschtroumph, en quatre mois les cyclistes ont presque totalement disparu. A la mairie, on est plus prudent : les premiers résultats sont encourageants, mais la saison de délation ne fait que commencer. Alors, on "s'excite la nouille" et l'on s'en remet aux bons offices des Apopos...

Philippe Darnand. »


Novembre - semaine II

Une petite couille s'est glissée dans cette brève (extrait) sur l'économie de marché :

Faut-il rendre l'anglais obligatoire à l'école ?

ARTICLES PARUS DANS L'EDITION DU 22.10.04

Faut-il rendre l'apprentissage de l'anglais obligatoire dès le CE2 ?

Le rapport Thélot, constatant la dégradation du niveau des jeunes Français, proposait d'apprendre à tous les élèves un "anglais de communication internationale". La proposition, soutenue par le premier ministre, heurte les défenseurs de la francophonie, les syndicats et même les anglicistes.

Virginie Malingre

FAUT-IL rendre obligatoire l'apprentissage de l'anglais dès le CE2, au même titre que le français ou les mathématiques ? Le rapport de la commission pour l'avenir de l'école présidée par Claude Thélot l'avait proposé, Jean-Pierre Raffarin et François Fillon y sont favorables. Très critiquée, tant par les tenants de la diversité linguistique que par les syndicats d'enseignants, qui récusent la notion d' « anglais de communication internationale » introduite par le rapport, cette proposition vise à améliorer le niveau des élèves français en anglais. Selon une étude réalisée dans sept pays d'Europe, ce sont les jeunes Français qui auraient le niveau le plus faible - ce dernier aurait en outre baissé entre 1996 et 2002.

Reste à savoir quelle sera la position de Jacques Chirac dans ce débat, lui qui a mis en garde, le 7 octobre, lors de son voyage au Vietnam, contre « une humanité où l'on ne parlerait qu'une seule langue ».

Pancho

Voici le correctif :

Faut-il rendre le langage obligatoire à l'école nazionale ?

Le rapport "Agadlatélévisionépidor", constatant la dégradation du niveau des jeunes Franzais quand ils causent franzais, et des abris-bus dans les cités des tilapins, proposait d'apprendre à tous les élèves un "rozbeef global européen de communicazion internazionale". La proposition, soutenue par des gens, heurte les défenseurs des animaux (les tichats et les tilapins par exemple), les syndicats de pneus et même les cyclistes.

FAUT-IL rendre obligatoire l'apprentissage du rozbeef dès le CE2, au même titre que l'allemand ou le sport ? Le rapport de la commission nazionale pour l'avenir de l'école franzaise et de l'intégration de l'Europe dans les USA présidée par Claude-johnantan Günter Mouloudostein l'avait proposé, John-Peter Raffarin et Francesco Fillon y sont favorables parce que bon.
Très critiquée, tant par les tenants de la diversité bucco-linguale que par les aboutissants des syndicats d'enseignants communiss, qui récusent la notion d' « anglais comme langue pour parler avec des types », qu'y disent dans le rapport, cette proposition vise à améliorer le niveau des élèves franzais pour par exemple acheter une baguette ou un pneu.
Selon une étude Ipsos/Jour de France réalisée dans plein de pays ou l'on cause, ce sont les jeunes Franzais qui auraient
le niveau de pile le plus faible - ce dernier aurait baissé entre 1996 et 2001, puis augmenté après septembre 2001 passqu'on a changé de nationalité.
Reste à savoir quand même quelle sera la position du Chirac dans ce débat super dur, lui qui a mis en garde en agitant son majeur, lors de son voyage de vacances d'octobre au Vietnam, pour « une humanité où l'on ne parlerait qu'une seule langue : le baragouin et une autre au choix ».
Il est également question de conserver dans les écoles, le franzais* en 2ème langue optionnelle.

Helmut-Manolo Grichtakian.

*Langue morte pratiquée en Ile de France, du 18ème au 20ème siècle aprés machin.

Oncle Patalon.


Novembre - semaine I

Mé, que lis-je dans cet extrait d'article de ma presse nazionale ?

«Aux Etats-Unis, Microsoft réussit à breveter l'invention du clic» LE MONDE | 07.06.04 | 14h43

« Cliquer sur une icône ou un bouton pour ouvrir un document ou lancer un programme : l'idée est si excellente qu'elle gouverne tous les systèmes informatiques depuis de nombreuses années. Excellente, elle n'en était pas moins en souffrance d'inventeur, puisque personne n'avait revendiqué ou obtenu, jusqu'à présent, la paternité de cette "invention".

C'est maintenant chose faite. Le 27 avril, l'US Patent and Trademark Office (Uspto) a en effet accordé au géant Microsoft, sous le numéro 6 727 830, un brevet protégeant le clic et toutes ses déclinaisons possibles, dès lors que celles-ci concernent un programme développé pour un ordinateur de poche aux "capacités limitées", c'est-à-dire un appareil du type assistant personnel numérique (PDA).

Aux Etats-Unis, la firme de Bill Gates est par conséquent fondée à demander une rétribution à tous ses concurrents qui développent des systèmes permettant "l'ouverture d'applications différentes selon la durée de temps durant laquelle un bouton est pressé". Le brevet obtenu par Microsoft couvre ainsi le simple clic, mais également le clic long - caractérisé par une unique pression d'"au moins une seconde" sur le bouton.

Quant au double clic, bien connu de tous les utilisateurs d'ordinateurs individuels, il est également protégé. "Une autre fonction peut encore être lancée si le bouton est pressé plusieurs fois en l'espace d'un court instant", précise le résumé du brevet.

Pour l'heure, de tels brevets - qui protègent la mise en oeuvre d'idées et non des réalisations techniques - ne sont pas reconnus dans les pays de l'Union européenne, comme c'est le cas aux Etats-Unis et au Japon.»


Tsssss, encore une coquille dans ce beau papier journal, que je m'empresse de rectifier fissa fissa :

Claquer une mère de famille ou une femme pour ouvrir un lave-vaisselle ou lancer et accélérer un programme de machine à laver et de repassage : l'idée est si excellente qu'elle gouverne tous les systèmes informatiques de programmation masculins des produits d'électroménager à connasses depuis de nombreuses années en fait depuis la nuit des temps. Excellente l'idée à toto, elle n'en était pas moins en souffrance d'inventeur à neurones, puisque personne (de masculin), n'avait revendiqué ou obtenu poil au cul, jusqu'à présent, la paternité couillue de cette "invention" burnée de claquage de radasse.

C'est maintenant chose faite. Le 27 avril, l'US Schwartzi Utilisator Pampan Office (SUPO) a en effet accordé au géant Micromou un brevet protégeant la claque et toutes ses déclinaisons possibles, dès lors que celles-ci concernent un programme développé pour une femelle d'intérieur aux
"capacités limitées", c'est-à-dire un appareil féminin du type Assistant Personnel de Gros Con. (APGC).

Aux Etats-Unis, la firme de Bill Bill est par conséquent fondée à demander une rétribution à tous ses concurrents qui développent des systèmes permettant "l'ouverture d'applications différentes selon la durée de temps durant laquelle une baffe est donnée". Le brevet obtenu par Micromou couvre ainsi la simple claque, mais également le coup de pied au cul - caractérisé par une unique pression à la volée d'au moins une seconde sur le cul de mémère la ménagère.

Quant au double coup de pied retourné, bien connu de tous les utilisateurs de femmes individuelles, il est également protégé. "Une autre fonction peut encore être lancée si le gros cul de feignasse est claqué plusieurs fois en l'espace d'un court instant", précise le résumé du brevet poil au cul.

Pour l'heure, de tels brevets choupis poil au pis - qui protègent la mise en oeuvre d'idées et non des gens - ne sont pas reconnus dans les pays de l'Union européenne, mais en fait si, le mois prochain.

Oncle Patalon fissa fissa.


Octobre - semaine IV

Mon bon Pascal Nègre et mon gars Rony-sous-Bois qui s'énervent dans la presse de Franze UMPé :

«Nous n'avons pas d'autre choix que d'attaquer les internautes mais avant, nous avons voulu les prévenir une dernière fois", résume Pascal Nègre à l'occasion d'une conférence de presse tenue le 4 mai au siège du Snep.

"Nous attaquerons si rien ne change», explique Hervé Rony, le délégué général du Snep, «c'est-à-dire s'il n'y a pas de reprise des ventes de disques et d'effondrement du peer-to-peer.» Car les producteurs restent convaincus que l'échange illégal de fichiers en ligne est le principal facteur de décroissance du marché. «Il suffit de regarder les chiffres», estime Hervé Rony, «les courbes de la montée du haut débit et de la chute des ventes de disques sont en miroir

Zig zig. Nos excuses plates. Il fallait lire :

"Nous n'avons pas d'autre doigts que d'attacher les étrangers mais avant, nous avons voulu les prévenir une dernière fois avec un haut-parleur", résume laborieusement Pascal Nègre à l'occasion d'une conférence de presse tenue le 4 mai au siège du SLIP, dans la ville de Moncul.

«Nous attaquerons si rien ne change», explique Hervé Rony-sous-Bois, le déguélé général du SLIP, "c'est-à-dire s'il n'y a pas de reprise du travail par des français de souche et d'effondrement du travail étranger." Car les employeurs restent convaincus que le travail illégal des étrangers en Françe est le principal facteur de décroissance du marché. "Il suffit de regarder les chiffres", estime Hervé Rony, "les courbes de l'immigration de l'étranger et de la chute des naissances de produits français sont en miroir."

Oups, bonne version :

"Nous n'avons pas d'autre choix que d'attaquer les Juifs mais avant, nous avons voulu les prévenir une dernière fois", résume Pascal Nègre à l'occasion d'une conférence de presse tenue le 4 mai au siège nazional du Snip.

"Nous attaquerons si rien ne change", explique RonyRony, le délégué général nazional du Snip, "c'est-à-dire s'il n'y a pas de reprise du travail par desfrançais de souche et d'effondrement du Juif." Car les employeurs du monde restent convaincus que le travail illégal des Juifs en France est le principal facteur nazional de décroissance du marché nazional. "Il suffit de regarderles chiffres nazional", estime Rony Rony, "les courbes de la montée du Juif dans les médias et la finance nazionale ; et de la chute des ventes de produits français sont en miroir. Boum"

Dernière rectification, du National Geographic, toutes mes excuses plates :

"Nous n'avons pas d'autre choix que d'attaquer les pangolins mais avant, nous avons voulu les prévenir une dernière fois", résume Pascal Fourmiller à l'occasion d'une conférence de presse tenue le 4 mai au siège du Daktari.

"Nous attaquerons si rien ne change", explique Cheeta, le délégué général du Daktari, "c'est-à-dire s'il n'y a pas de reprise du travail par des pitites souris et d'effondrement du pangolin." Car les employeurs restent convaincus que le travail illégal des pangolins en France est le principal facteur de décroissance à roulette du marché. "Il suffit de regarder les chiffres", estime Cheeta, "les courbes de la montée du pangolin dans les médias et la finance ; et de la chute des pitites souris sont en miroir."


Octobre - semaine III

Mesdames, messieurs, un brin de poilade :
Mon gars Michel Legrand du Moulin de mon Choeur, il a dit dans «Le Monde», à propos de la musique contemporaine, poil à la reine :

«C'est ridiculement enfantin, l'avant-garde. C'est pour ça d'ailleurs qu'il y en a tellement qui en écrivent ! Vous n'avez besoin d'aucune technique ; moins vous en avez, mieux ça vaut. C'est du creux dans du vide. Xenakis n'a pas la moindre idée de ce qu'est la musique, c'est un mathématicien !»

En fait, il fallait lire :
«C'est ridiculement enfantin, la techno. C'est pour ça d'ailleurs qu'il y en a tellement, de la techno, c'est vrai ! Vous n'avez besoin d'aucune technique ; moins vous en avez, mieux ça vaut et plus c'est pas bien. C'est du creux dans du vide plein de rien avec des boutons qui font ping, oump et dzoinning. Didji Xenakis n'a pas la moindre idée de ce qu'est la musique, c'est un grec !»

Oups encore trompé, voici la bonne version, il fallait lire :
«C'est ridiculement enfantin, un batteur. C'est pour ça d'ailleurs qu'il y en a tellement qui en écrivent pas de la musique de batteur ! Vous n'avez besoin d'aucune technique avec les baguettes ; moins vous en avez, mieux ça vaut. C'est du creux dans du vide avec une peau dessus. Régis Boulard n'a pas la moindre idée de ce qu'est la musique, c'est un batteur !»

Il est fort le Mimi.


Oncle Patalon


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