Avril - semaine II
Siffloter "L'Internationale" peut coûter cher
LE MONDE | 08.04.05 | 18h01
Pendant sept secondes, dans son long métrage Insurrection
résurrection, l'acteur et réalisateur Pierre Merejkowsky
a siffloté L'Internationale. Comme ça, au débotté.
Une improvisation. Une fantaisie qui pourrait coûter cher
à son producteur, Les Films sauvages.
Jean-Christophe Soulageon, le directeur, a reçu une lettre
sèche, en recommandé avec accusé de réception,
de la Société pour l'administration du droit de reproduction
mécanique des auteurs compositeurs et éditeurs (SDRM),
qui gère les droits d'auteur sur les supports cinématographiques."Au
cours d'un contrôle dans les salles de cinéma, nos
inspecteurs musicaux ont constaté que l'œuvre L'Internationale
avait été reproduite dans le film" sans autorisation.
La SDRM demande donc 1 000 euros pour avoir omis de déclarer
ce sifflotement, qui constitue une exploitation illégale
d'une musique éditée par la société
Le Chant du monde. M. Soulageon ignorait qu'un sifflotement valait
chanson. Pis, il ne savait pas non plus que L'Internationale, dont
la musique a été écrite par Pierre Degeyter
(1848-1932) et les paroles par Eugène Pottier (1816-1887),
n'était pas dans le domaine public. Membre du Parti ouvrier
français, Pierre Degeyter a composé en 1888 ce qui
est devenu par la suite l'hymne du mouvement ouvrier mondial. Le
compositeur meurt en 1932 à Saint-Denis, "un peu
dans la misère", malgré une petite pension
de l'ambassade de l'URSS, précise Hervé Desarbre,
le directeur du Chant du monde.
Selon la loi sur la propriété intellectuelle,
cette œuvre ne tombera dans le domaine public qu'en 2014, souligne
Philippe Lemoine, responsable des autorisations audiovisuelles de
la SDRM. Aux soixante-dix ans de protection post-mortem de l'artiste,
s'ajoutent les années de guerre. Le producteur a tenté,
en vain, de négocier, en proposant 150 euros au Chant du
monde. La société d'édition musicale des "grands
Russes" (Chostakovitch, Prokofiev...) aurait préféré
une demande préalable. L'épisode est d'autant plus
rude que Les Films sauvages ne se sont guère enrichis avec
le film de Pierre Merejkowsky. Sorti le 10 novembre 2004 dans une
seule salle d'art et d'essai parisienne, ce long métrage
a réalisé 203 entrées.
Pourquoi Pierre Degeyter n'est-il pas mort riche ? Chaque fois
que L'Internationale était chantée en public,
il aurait dû toucher des droits. "L'Union soviétique
violait la loi en ne redistribuant rien aux ayants droit",
déplore M. Desarbre. A la SDRM, on va plus loin : dans les
congrès ou les réunions politiques, les organisateurs
devraient prévenir et verser des droits après avoir
chanté cet hymne révolutionnaire. Alain Krivine (LCR)
s'en amuse : "Je n'ai jamais donné un sou à la
Sacem, d'ailleurs on décide toujours au dernier moment de
chanter, ça s'est fait des milliers de fois."
*Nicole Vulser*
Article paru dans l'édition du 09.04.05
Censure sournoise, de la part de ce quotidien vendu à la
solde des contre-révolutionnaires mandchous.
Laissons la propagande aux journalistes de métier, et rétablissons
la vérité, nous, pauvres animateurs dévoués
de la vie sociale et politique, divertisseurs sans arrières
pensées.
Enjoy, or die.
M. Patalon, gouverneur de la communicazion de Franze,
an de graisse 60 près zigzig.
Péter" Le Maréchal le voilà" peut
faire des embêtements à çui qui le fait.
ORWELL MEIN LIBEU | 08.04.05 | 18h01
Pendant sept secondes de bonheur, sous sa couette, le pétomane
Karl-Henri Gourmelon y Oignon à pété "Le
Maréchal le revoilà". Comme ça, en pétant.
Une fantaisie militaire filmée pour le cinéma par
BHL qui pourrait coûter cher à son producteur/ directeur/
président/ exécuteur musical de l'institut franco-allemand
: "Culture pour tous 2000", également première
major mondiale du disque à écouter si on veut.
Karl-Henri et Jean-Poupougne Intestinal, directeur de la chorale
pétomane "les tilapins" dans le film de l'autre
nain, ont reçu une lettre avec un timbre à gros yeux
qui les gronde, de la CNIL (Comizion Nazioanle d'Interdiczion des
Libertés), qui gère les droits des industriels sur
les GSM/ ascenseurs/ Hall de gares/ Fesses des pétomanes.
"Au cours d'un contrôle dans le home cinéma de
Karl-Henri, nos inspecteurs SS (Sécurité-Sécurité)
ont constaté que "le Maréchal le voilà"
avait été reproduite par des fesses dans le film du
BHL sans autorisation de Le Maréchal qui voilà. La
CNIL demande donc la peine de mort (ou 10000 zlotis) pour avoir
caché ce qui sort de ses fesses, ce qui constitue une exploitation
fessière illégale d'une musique éditée
par la société "Bruits de bottes".
Ce neu-neu de Karl Henri ignorait qu'un pet pouvait nuire. Pis,
il ne savait pas non plus que ses fesses n'étaient pas dans
son domaine privé. Membre de ses fesses, Lulu la Nantaise
a composé en 1940 l'hymne du mouvement de libérazion
mondiale. Le compositeur meurt en 1945 à Paris, "un
peu tondue", malgré une résistance courageuse
à l'armée d'occupation US précise BHL, le directeur
de "Je suis dispersé magazine".
Selon la loi sur la propreté intellectuelle, cette œuvre
ne tombera jamais le domaine des gens souligne Michel Sardou, responsable
des Autorisations pour les Cerveaux des Gens. Le producteur a tenté,
en vain, de s'abaisser. L'épisode (pas rigolo/rigolo) est
d'autant plus rude que La chorale "les tilapins" ne s'est
guère enrichie avec le film de BHL : sorti le 10 novembre
2004 dans son home cinéma, ce trop long métrage a
réalisé une entrée et un suicide.
Pourquoi Lulu la Nantaise n'est-elle pas morte en Suisse ? Chaque
fois que "Maréchal mon libeu" était
chantée en public, elle aurait dû se toucher. À
la CNIL, on va plus loin: dans les vaters ou les pissotières,
les auteurs devraient prévenir et verser des droits après
avoir chanté cet hymne à la liberté. L.L. de
Mars (cerveau) s'en amuse : "Je n'ai jamais donné un
sou à la CNIL d'ailleurs on décide toujours au dernier
moment de péter et de se tripoter le biniou, ça s'est
fait des milliers de fois."
Alka Seltzer y Panzer.
Article paru dans l'édition l'an 60 après zigzig.
En bref :
"La CNIL donne son feu vert à la surveillance des
échanges peer to peer. Les éditeurs de jeux
vidéo sont désormais autorisés à mettre
en place une surveillance automatique des échanges P2P. Des
sanctions pourront être prises en cas de graves infractions."
"La CNIL donne son feu vert à la surveillance des gens.
"Les catholiques sont désormais autorisés à
mettre en place une surveillance automatique des échangistes.
Des sanctions pourront être prises en cas de graves enculations."
Oncle Patalon
Mars - semaine III
Quelle douleur ! Pour une fois qu’un journaliste fait son
travail, il interprète malheureusement une odieuse dépêche
résolument anti-allemande, cynique et incitatrice à
la haine, en une doucereuse et humaniste ode à la réconciliation
dans le but de construire un avenir commun et harmonieux pour tous
ces jeunes européens comme « les Jeunesses Umpistes
» et les rappeurs à capuche jaune, mais pas que.
Tss tsss, la réalité est plus noire, oncle Patalon
veille.
Oncle Patalon.
Le ventre de "une"
Lycéens allemands et français auront bientôt
un manuel d'histoire commun
LE MONDE | 10.03.05 | 14h19
Une étape décisive de l'élaboration du
futur manuel d'histoire commun à la France et à l'Allemagne
devait être franchie, jeudi 10 mars à Berlin, par François
Fillon, ministre français de l'éducation, et Peter
Müller, ministre-président de la Sarre et coordinateur
des Länder allemands pour la coopération avec la France,
lors d'une rencontre inédite avec les responsables de la
conférence permanente des ministres de l'éducation
régionaux allemands. Celle-ci a la haute main sur l'éducation
dans le système fédéral de l'Allemagne.
Le premier tome de ce manuel, qui couvrira la période
de la reconstruction européenne après la seconde guerre
mondiale, devra être disponible pour les élèves
de terminale lors de la rentrée scolaire 2006-2007.
Deux autres tomes, couvrant l'Antiquité et le Moyen Age,
puis l'Europe de la Renaissance jusqu'aux guerres mondiales, seront
mis ultérieurement à la disposition des classes de
seconde et de première.
Deux maisons d'édition, Ernst Klett (Stuttgart) et Nathan
(Paris), ont été choisies après appel d'offres
pour piloter l'opération. Elles ont présenté,
mardi 8 mars, à Paris, le projet de plan de leur premier
ouvrage aux membres de la commission d'historiens et de responsables
pédagogiques des deux pays chargée de superviser l'opération.
Cette commission avait remis le 28 octobre dernier à
MM. Fillon et Müller, lors du dernier conseil des ministres
commun franco-allemand de Berlin, un canevas général
qui devra servir de trame aux trois futurs ouvrages et décrit
"une vision commune franco-allemande", en l'état
actuel des connaissances relatives à l'histoire européenne
depuis l'Antiquité.
Il ne s'agit pas, avaient bien souligné les membres de
la commission, de faire une histoire des relations franco-allemandes,
mais bien de présenter une relation commune d'une histoire
commune qui a été bien trop souvent réécrite
à leur manière par les Etats nationaux. Cette relation
commune pourrait servir de modèle à de futurs manuels
d'histoire collectifs européens.
Le synospsis présenté par les éditeurs
pour le premier volume contient cinq chapitres. Le premier porte
sur les mémoires de la seconde guerre mondiale et la période
1945-1949. Le deuxième sur l'Europe entre les Etats-Unis
et l'URSS de 1949 à 1989. Le troisième sur l'Europe
dans le monde de 1989 à nos jours. La quatrième partie
traite des transformations techniques, économiques, sociales
et culturelles depuis 1945. La dernière, qui donne encore
lieu à discussion, est consacrée aux Allemands et
aux Français depuis 1945.
Henri de Bresson
Le ventre de "la bête"
Jeunesse allemande et franzouze auront bientôt un avenir.
LE REICH | 10.03.05 | 14h19
Une étape définitive de la collaboration pour une
histoire commune à la Franze et aux Zigzigs devait être
franchie, jeudi 10 mars à Berlin, par Michel-Pedro Oignon
y Mascarpone, ministre franzais du Jeune, et Helmut Moumoute y Casscroute,
ministre-président des haricots verts et coordinateur des
boutons-pressions pour la collaboration avec la Franze, lors d'une
rencontre inédite dans un train avec les ministres de l'éducazion
sans condizions allemands. Ceux-ci ont une grosse voix et un drôle
d’accent.
Ce manuel, qui couvrira la période de la reconstruction
européenne du nazisme mondial après la fin du nazisme
mondial aussi, devra être obligatoire pour les élèves
de parents RMIstes, immigrés depuis la 10e génération
et cyclistes lors des rentrées scolaires pour 1000 ans.
Aussi, deux parcs d'attractions pour jeunes et toute la famille
du jeune, couvrant les Celtes jusqu'à la destruction totale
des cyclistes d'Europe, puis du rap jusqu'à la prochaine
guerre mondiale, seront mis ultérieurement à la disposition
du jeune.
Deux maisons d'édition, Zigzig Révizione (Berlin)
et Collabo Bouriko (Paris), ont été choisies
après appel d'offres pour ceci cela. Elles ont présenté,
à Paris-sur-Rhin, le plan de leur premier parc d’attraction
familiale « Birkeno mon Zozio » aux membres de la commission
d'historiens de Lyon et de responsables en communicazion des deux
zuper puissances chargées de communiquer.
Cette commission avait remis le 28 janvier 2005 à MM. Gourmelin-Rintintin
et Oberschtroumf-Müller, un plan général qui
devra servir d’attaque aux industriels et décrit "une
vizion totale franco-allemande", en l'état actuel des
connaissances relatives à l'histoire européenne depuis
Rahan, fils de Crao.
Il ne s'agit pas, avaient bien martelé les membres de la
commizion, de faire une histoire des vieux problèmes franzouzes-zigzig,
mais bien de préparer une histoire commune de l'oubli qui
a été bien trop souvent discréditée
à leur manière par les cyclistes. Cette relazion commune
pourrait servir de modèle à de futurs collaborateurs
d'histoire, et autres promoteurs de DizneyLand.
Le storyboard présenté par les éditeurs pour
le premier volume contient cinq chapitres. 1 : « Youpi le
plan Marshall », 2 : « La communauté de l’anus
», 3 : « Les deux trous », La quatrième
partie traitant du retour du doigt et des survêtements à
capuche. La dernière, qui donne encore lieu à
discussion, est consacrée à mon cul.
Jean-Louis Camembert
Mars - semaine I
Souvenez-vous, ce malheureux journaliste, qui confond tout et voit
le mal partout :
La copie privée remise en question par le gouvernement
Le ministère de la Culture met la dernière main à
son avant-projet de loi relatif aux droits d'auteur. Pour l'association
de consommateurs UFC-Que Choisir, le projet pourrait conduire à
limiter considérablement le droit à la copie privée.
Stéphane Long , 01net., le 09/12/2002 à 19h03
Mise à jour : le ministère de la Culture planche
sur sa nouvelle loi
Comme prévu, le CSPLA (Conseil supérieur de la
propriété littéraire et artistique) s'est réuni,
jeudi 5 décembre, pour rendre son avis sur l'avant-projet
de loi relatif au droit d'auteur.
A l'issu de cette réunion, les membres du Conseil ont été
invités à faire part de leurs propositions par écrit,
avant le 31 décembre. Le Bureau de la propriété
littéraire et artistique du ministère de la Culture
poursuivra ses travaux de transposition avec l'objectif de présenter
un projet de loi devant le parlement dans le courant du premier
semestre.
Le CSPLA est constitué de représentants des ministères,
de huit personnalités qualifiées en matière
de propriété intellectuelle, de professionnels (représentants
des auteurs, producteurs, éditeurs...) et de syndicats représentants
des consommateurs (Union féminine civique et sociale et Indecosa-CGT).
Première publication : jeudi 5 décembre 2002 Le droit
à la copie privée est en danger. La mise en garde
vient de l'UFC-Que Choisir. Pour l'association de défense
des consommateurs, l'avant-projet de loi relatif aux droits d'auteur,
actuellement élaboré par le ministère de la
Culture ( voir encadré ), pourrait conduire à limiter
l'exception de copie privée accordée aux consommateurs.
Jusqu'à présent, le code de la propriété
intellectuelle autorise tout un chacun à effectuer autant
de copies qu'il le souhaite (CD-audio, cassette, DVD...), d'une
oeuvre acquise légalement et pour un usage strictement privé.
Un droit mis à mal par les systèmes anticopie En théorie,
le texte à l'étude ne remet pas en cause ce principe.
Mais en pratique, l'UFC-Que Choisir craint que les titulaires des
droits d'auteur réduisent à un exemplaire unique le
nombre de copies accordé aux utilisateurs, par le biais de
dispositifs techniques limitant la duplication.
La loi prévoit en effet de légitimer les procédés
anticopie, allant même jusqu'à prévoir des protections
juridiques contre leur contournement. Les maisons d'édition
n'ont pas attendu l'entrée en application de cette loi en
France pour protéger leurs disques contre la copie. Leur
système de protection, déjà en place, restreint
considérablement les usages des consommateurs : impossibilité
d'effectuer une copie depuis un ordinateur, de graver ses propres
compilations et d'écouter la musique sur un baladeur MP3...
Reste seulement la possibilité de duplication avec un graveur
de salon ou de reproduction sur des supports tels que les cassettes
audio ou les MiniDisc.
" Le respect des droits d'auteur ne doit pas faire obstacle
au droit des consommateurs d'exercer leur liberté d'usage
des matériels qu'ils achètent ", clame pour sa
part l'UFC-Que Choisir.
Une remise en cause de la " taxe " sur les CD vierges
Pour l'association, une autre voie consiste à utiliser des
systèmes de protection permettant d'encadrer le droit de
copie en limitant le nombre des duplications. Les spécialistes
des systèmes anticopie expérimentent déjà
ces procédés, qui pourraient voir le jour dès
l'année prochaine. Encore faut-il que le nombre de copies
soit clairement inscrit dans la loi, ce que demande UFC-Que Choisir.
En attendant, pour faire valoir leur droit de protéger leurs
oeuvres contre la copie, les maisons de disques seraient prêtes
à renoncer à la rémunération au titre
de la copie privée, qui s'applique notamment à la
vente des CD vierges. Reste à savoir si les sociétés
qui perçoivent et distribuent cette redevance aux ayants
droit seront d'accord...
Une loi européenne en attente de transposition Le texte actuellement
étudié par le ministère de la Culture s'appuie
sur la directive européenne du 22 mai 2001, portant "
sur l'harmonisation de certains aspects des droits d'auteur et des
droits voisins dans la société de l'information ".
Cette directive est censée entrer en application le 22 décembre
2002. La France a pris du retard dans la transposition de la directive
dans la loi française. Ce jeudi 5 décembre, le Conseil
supérieur de la propriété littéraire
et artistique, composé en majorité des représentants
des ayants droit (auteurs, producteurs, éditeurs), doit rendre
son avis sur l'avant-projet de loi. Après modification, le
texte sera présenté au Sénat ou à l'Assemblée
nationale, vraisemblablement au printemps prochain.
Bien entendu, Patalon veille à redonner toute la force originale,
mais absente de la pauvre prose du pisse-copies ci-dessus, et ce,
sans langue de bois, la preuve, 2 ans après où qu'on
en est.
La musique remise en question par le gouvernement
Le ministère de la Kultur et des Sous met un dernier doigt
dans son projet de loi relatif aux droits des gens. Pour l'association
des cyclistes, le projet pourrait conduire à limiter considérablement
le droit des gens.
Gontran Fouette-Zigzig, Signal, le 09/12/2002 à 19h03
Comme prévu, le CSIG (Conseil supérieur d'interdiction
des gens) s'est réuni. Après, les membres ont été
invités à manger. Le Bureau "Interdits et propagandes
Kulturelles" du ministère de la Kultur présentera
un projet de loi devant des amis.
Le CSIG est constitué d'inconnus des ministères, de
Johnny Halliday, Christian Clavier, Jean Reno, Thierry Lhermitte,
TF1, Marie-Anne Chazel, Jean-Claude Bourret, Pascal Nègre,
les produits laitiers, Yves Duteil, la digueducul et Boney M, qualifiées
en matière de propriété économique,
de professionnels des sous et de syndicats représentants
des consommateurs (MEDEF).
Le droit de siffler sous la douche est en danger. La mise en garde
vient des gens. Pour les gens, l'avant-projet de loi pourrait conduire
à limiter le sifflage sous la douche, le chantonnage dans
la voiture, et la pratique de la guitare folk.
Jusqu'avant les fassistes, le code de la propriété
intellectuelle autorisait un gens à bouiner ce qu'il voulait
avec ses disques, d'une oeuvre acquise légalement ou prêtée
par Jean-Louis et pour un usage strictement privé mais éventuellement
aussi ses gosses, sa grosse et Jean-Louis.
Un doigt mis dans les fesses par les systèmes anticopie.
En théorie, le texte à l'étude ne remet pas
en cause ce principe. Mais en fait, si : une merde sur CD achetée
= un seul auditeur, une seule fois. Après il faut rendre
le disque au magasin. La loi prévoit de légitimer
les procédés anti-gens, allant même jusqu'à
prévoir des mines anti-personnelle. Les maisons d'édition
n'ont pas attendu l'entrée en application de cette loi en
France pour protéger leurs disques contre la copie. Leur
système de cassage de couilles restreint considérablement
le bouinage des gens : impossibilité d'écouter la
musique avec Jean-Louis. Reste seulement la possibilité de
jouer à Jean-Louis le dernier Lori à la guitare folk.
"Le respect des droits d'auteur ne doit pas faire obstacle
au droit des gens d'exercer leur usage de la culture",
clament les cyclistes.
Une remise en cause de l'impôt sur les CD vierges
Pour l'association, une autre voie consiste à supprimer
les CDs et de construire une usine de guitares Folk. Les spécialistes
des systèmes anticopie cassent déjà les couilles
en limitant l'écoute d'un disque une fois, après il
faut le racheter. Encore faut-il que le disque plaise aux gens pour
qu'ils le rachètent, souligne UFC- Les cyclistes.
En attendant, pour protéger leurs boites de l'innovation,
la création, et de faire leur métier, les maisons
de disques seraient prêtes à renoncer à Johnny
Hallyday, parce que bon. Reste à savoir si la SACEM sera
d'accord.
Une loi européenne en attente de pénétration
Le texte s'appuie sur une directive européenne, portant
"sur l'harmonisation des droits d'auteur et des droits des
gens de la publicité". Cette directive est entrée
en application comme par magie. FranzouzeReich a pris du retard
dans la répression. Ce matin, un lapin a tué un lapin,
c'était un lapin qui n'aimait pas les lapins. Après
durcissement, le texte sera présenté au Sénat,
à Jean-Louis ou à l'Assemblée nazionale ou
à personne et ça fout, vraisemblablement très
vite.
Oncle Patalon
BRÉVE:
"Universal est une grosse machine de gens qui sont à
genoux financièrement et dans leur fonctionnement, et au
bout du rouleau. Pascal Nègre, dont on parle sans arrêt
est un industriel qui n'arrive pas à vendre de disques, en
dehors des enfants* et des vieux, parce que les autres téléchargent.
Cette industrie est responsable de sa propre décadence."
Ariel Wiesmann
*Comprendre les 4-35 ans
Universal est un gros flan plein de gens qui sont des foutriquets*
financièrement et dans leur fonctionnement, et bout du rouleau
de PQ, y faut en racheter. Pascal Nègre, qui parle sans arrêt,
est un industriel qui vend très bien sa musique de singes
et ses sonneries de portables pour les autistes et les centenaires.
Les autres se démerdent. L'ouvrier de l'industrie des mineurs
de fonds est donc responsable de sa propre décadence.
Oncle Patalon
* c'est comme des jean-foutre
Janvier - semaine III
Devant l'afflux de demandes, plusieurs communes privent de
cantine les enfants de chômeurs
LE MONDE | 19.01.05 | 14h19
A Vaires-sur-Marne (Seine-et-Marne), la mairie exige "une attestation
de chaque employeur des parents". La justice a déjà
sanctionné de telles "atteintes au principe d'égalité".
La cantine et les centres de loisirs de Vaires-sur-Marne (Seine-et-Marne)
ne sont plus ouverts à tous les enfants, et notamment à
ceux dont les parents ne travaillent pas. Depuis la rentrée
des vacances de Noël, "l'accès aux services municipaux
tels que les restaurants scolaires des écoles maternelles
et primaires, les centres d'accueil pré et post-scolaires
et les centres de loisirs pour les mercredis et les vacances scolaires
(pour les 3-11 ans) est strictement limité aux enfants dont
les deux parents travaillent". Tel est le contenu de la lettre
que la maire (PS) Danièle Querci a adressée aux parents,
le 25 novembre 2004. En lettres majuscules et en gras, elle leur
réclamait, dans de brefs délais, "une attestation
d'activité professionnelle de chaque employeur des parents
du foyer".
La commune, dont les recettes fiscales vont diminuer avec la
fermeture d'une centrale EDF en mars 2005, entend ainsi faire des
économies. Devant l'impopularité de sa décision,
elle se veut aujourd'hui plus conciliante que ne le laissait imaginer
le ton de sa lettre. "Le courrier envoyé aux parents
était maladroit. Il n'est pas question de refuser des enfants
de chômeurs. Mais de ne pas accepter les inscriptions de confort",
y indique-t-on.
Le cas de Vaires-sur-Marne n'est pas isolé. En Ile-de-France
et, dans une moindre mesure, en province, de nombreuses communes
mettent en place des critères d'admission des enfants du
premier degré à la cantine ou dans les centres de
loisirs. Le plus souvent, elles opèrent leur sélection
selon le travail des parents. Mais pas toujours. Ainsi, à
Villeurbanne (Rhône), les enfants dont les parents gagnent
plus d'un certain revenu sont interdits de cantine.
Toutes ces villes invoquent des contraintes budgétaires
et la poussée démographique à laquelle sont
confrontées les écoles primaires, après le
baby-boom de l'an 2000. "Il y a vingt ans, la moitié
des élèves restaient à la cantine. Aujourd'hui,
ce taux peut monter à 80 %. Les écoles n'ont pas été
conçues pour ça", explique-t-on également
à la mairie de Créteil (Val-de-Marne), où les
enfants dont les deux parents travaillent sont prioritaires en matière
de restauration scolaire. "On ne l'applique que quand on a
un vrai problème de place", précise-t-on dans
l'entourage de
Laurent Catala, le maire PS.
"PRIVÉS D'UN REPAS"
"Une majorité des villes des Hauts-de-Seine"
fonctionne sur ce modèle, note, de son côté,
la section départementale de la FCPE (Fédération
des conseils de parents d'élèves). C'est le cas de
Colombes, depuis septembre 2003. "En 2003, on a ouvert treize
classes en primaire. On ne pouvait plus assurer une restauration
scolaire dans de bonnes conditions. Dans certains établissements,
il fallait offrir trois services, alors que le temps affecté
au repas de midi est de une heure et demie", explique-t-on
au cabinet de la maire UMP, Nicole Gouetta. Face aux critiques,
la commune a finalement aménagé sa formule : les enfants
dont un des deux parents ne travaille pas peuvent demander une dérogation
et avoir accès à la cantine deux jours par semaine.
A Clichy, le règlement est le même depuis plus de trois
ans. "Pour un repas, la collectivité perçoit
en moyenne 1,80 euro alors qu'elle dépense entre 6 et 8 euros.
Et 75 % des enfants vont à la cantine... Cela revient cher",
explique-t-on dans l'entourage de Gilles Catoire, le maire socialiste
de Clichy.
"Ces restrictions sont inadmissibles. Elles pénalisent
les enfants qui ont le plus besoin de la cantine, et qui se trouvent
ainsi privés d'un repas équilibré qu'ils n'auront
pas forcément chez eux. Quand les deux parents ne travaillent
pas, c'est généralement qu'ils sont en situation très
difficile", juge Gilles Moindrot, porte parole du SNUipp, syndicat
majoritaire chez les enseignants du premier degré. "C'est
contraire au principe d'accès égal et à tous
au service public", constate, pour sa part, Georges Dupon-Lahitte,
président de la FCPE.
La jurisprudence va clairement dans ce sens. Plusieurs tribunaux
administratifs, appelés à se prononcer sur ces limitations,
les ont jugées illégales. Parmi eux, le 13 juin 2002,
celui de Grenoble (Isère) a annulé les dispositions
du règlement du service de restauration scolaire de la commune
de La Verpillière, qui limitait l'accès à la
cantine aux enfants dont les deux parents travaillent, et condamné
la ville à verser 750 euros aux requérants.
Dans une affaire comparable concernant Marignane (Bouches-du-Rhône),
le tribunal administratif de Marseille avait pris un jugement similaire,
en novembre 1996, arguant qu'il y avait "atteinte au principe
d'égalité des usagers devant le service public".
Virginie Malingre
. ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 20.01.05
Quel ramassis de sottises. Que d'erreurs d'interprétations,
on croirait un journal de gauche.
Voici le corrigé :
Devant l'afflux des délations, plusieurs communes privent
de cantine les enfants de chômeurs, de moulouds, de cyclistes
et les barbichus.
Afin de cerner les loquedus qui forment la société
Françaize, la mairie de Glaires-sur-pituite (FrançouzReich),
exige "une attestation de chaque négrier des bons parents
qui travaillent en PME-PMI ou mieux".
La justice, le MEDEF, les buralistes, Michel Sardou et les petits
commerçants ont déjà approuvé de telles
"atteintes au principe d'égalité" comme
ils disent.
La cantine et les centres d'éducation en chantant de Glaires-sur-Pituite
(BreihzReich) ne sont plus ouverts à tous les nanfants, et
notamment à ceux dont les merdes de parents creusent le déficit
zozial. Depuis la rentrée, "l'accès aux services
publics tels que les restaurants scolaires, l'enseignement scolaire,
la vie scolaire, les vacances scolaires, les pissotières
et l'avenir est strictement limité aux nanfants dont les
deux parents sont en état de marche et travaillent 39 heures
par semaine". Tel est le contenu de la lettre que la maire
de gauche Danièle Agauchetoute a adressée aux parents
qui ont voté pour elle, le 25 novembre 2004. En lettres majuscules
rouges taille 80 pts et en gras, elle leur réclamait, dans
de brefs délais, "de ne plus exister".
La commune, dont les recettes fiscales vont diminuer avec la fermeture
de 20 restos Mc Do en mars 2005, entend ainsi faire des économies.
Devant la popularité de sa décision, elle se veut
aujourd'hui intransigeante. "Le courrier envoyé aux
parents n'était pas assez clair. Une nouvelle missive sera
envoyée aux foyers concernés, délivrée
en main propre par un gendarme et un huissier de justice pour les
empreintes. Une fouille anale des nanfants est également
prévue.
Il n'est pas question de refuser à ce que les nanfants de
ploucs - c'est vrai - s'alimentent. Mais juste de ne pas les accepter
à la cantoche s'ils ne payent pas.
Le cas de Glaires-sur-vicales est à la traîne. En
Ile-de-France, en PACA et en Alsace, de nombreuses communes ont
fait bien mieux. Mais pas toujours. Ainsi, à Toulon, les
enfants de bourges, d'actionnaires et les gros, sont interdits de
se mélanger avec les merdeux de la cantine.
Toutes ces villes de gauche invoquent des contraintes budgétaires
et la poussée démographique à laquelle sont
confrontées les écoles primaires, après le
baby-boom de l'an 2000. "Il y a vingt ans, la moitié
des élèves restaient à la cantine. Aujourd'hui,
ce taux peut monter à 80 %. Les écoles n'ont pas été
conçues pour ça", explique-t-on également
à la mairie de Créteil (Val-de-Marne), où les
enfants dont les deux parents travaillent sont prioritaires en matière
de restauration scolaire. "On ne l'applique que quand on a
un vrai problème de place", précise-t-on dans
l'entourage de Laurent Tralala, le maire de gauche aussi.
Note d'oncle Patalon : "sur ce dernier paragraphe, il n'y
avait aucune fautes, seulement deux coquilles, et c'est heureux".
"Ces restrictions sont géniales. Elles pénalisent
les enfants qui ont le plus besoin de la cantine, et qui se trouvent
ainsi privés d'un repas équilibré qu'ils n'auront
pas chez eux. Et pas besoin de construire de nouvelles infrastructures.
On devrait en éliminer pas mal comme ça", juge
Manolo Gromouton y Lardons, porte-parole du SNUippPoingTaGada, syndicat
majoritaire chez les gens. "C'est raccord au principe d'accès
payant et à tous au service public", constate, pour
sa part, Georges Trique et bourre, roi de Franze.
Dans une affaire comparable concernant Marignane (Bouchées-à-la-Reine),
le tribunal administratif de Marseille avait pris un jugement similaire,
en novembre 1996, arguant que "heureux ceux qui croient ce
qu'ils voient car le royaume des yeux leur est ouvert".
Les restaus du coeur sont du coup débordés. Ils pensent
appliquer les mêmes restrictions.
Poil au fion.
Demis Roussos.
. ARTICLE PARU MAIS DE TOUTES FAÇON TOUT LE MONDE S'EN FOUT.
Janvier - semaine I
Mon gars de Mars embête les gens avec ça :
Chers tous, qu'est-ce que je lis dans ma boîte aux lettres?:
« L'animateur de télévision Ariel Wizman
est le porte-voix d'une campagne de sensibilisation lancée
mardi pour mettre en garde les internautes contre les risques du
téléchargement illégal de musique. Un message
lu par l'animateur va être envoyé aux "internautes
pirates" par l'intermédiaire de fichiers émissaires
adressés aux différents logiciels d'échange.
Ce message sera inséré dans le morceau de musique
avec l'autorisation des artistes interprètes. Résultat
: l'internaute aura échoué à télécharger
son morceau, interrompu par le message, et il sera mis en garde
contre d'éventuelles poursuites judiciaires. "Vous venez
de tenter de télécharger un fichier musical protégé.
Ce faisant, vous faites courir des dangers (...) aux artistes et
à l'industrie musicale", affirme le message. "Vous
pouvez facilement être identifié et poursuivi devant
la justice par les ayants droit; vous risquez aussi d'attraper un
virus informatique", met-il en garde. "Pour profiter de
la musique en toute liberté, il existe des solutions de téléchargement
légales et sans risques", affirme-t-il. Pendant cette
campagne, qui durera deux mois, près de 100.000 fichiers
émissaires vont être diffusés sur internet.
Ce projet a pu être réalisé grâce à
la collaboration entre les fournisseurs d'accès à
internet, qui apportent leur espace serveur, et les ayants droit
de la musique, qui fournissent les fichiers support.»
Le pauvre chéri, il s'est trompé et a lu la version
crypto-communiss.
Il fallait lire :
« L'animateur de pub télé Oberschtroumph Helmut
est le pitit caniche d'une campagne de vaccination lancée
mardi pour mettre en garde les types contre les risques du téléchargement
de musique de merde. Une posologie lue par pépère
va être envoyé aux gens et aux cyclistes par l'intermédiaire
de fichiers meupeutroy adressés aux différents logiciels
d'échange de gens à gens en toute liberté et
qui s'aiment au point qu'ils partagent tout.
Ce message sera inséré dans le morceau de musique
de singe toute pourrie avec l'autorisation des artiss interprètes
avocats, le petit Jésus et Dieu.
Résultat : l'internaute aura échoué à
télécharger son morceau, c'est ballot, mais aura vomi
tout son veau interrompu par le message en allemand, et il sera
mis en garde contre d'éventuels ulcères et acouphènes.
"Vous venez de tenter de télécharger une grosse
merde bien naze de musique protégée par un artiss.
Ce faisant, vous faites courir des dangers (...) à votre
intelligence, vous perdez du temps, enquiquinez les artiss, et renforcez
la présence de caries au niveau bucco-dentaire", affirme
le message. "Vous pouvez facilement être identifié
et pendu devant des gens qui applaudissent avec Michel Drucker ;
vous risquez aussi d'attraper un virus au niveau de la bite",
met-il en garde. "Pour profiter de cette crotte en toute liberté,
il existe des solutions de téléchargement légales
et sans capote", affirme-t-il. Pendant cette campagne, qui
durera pour toujours, près de 100.000.000 fichiers émissaires
vont être diffusés sur Internet et du coup vont bien
foutrent la zone au niveau de l'encombrement d'Interprout, "la
grande poubelle cosmique"*. Ce projet a pu être réalisé
grâce à la Collaborazion, le CNICFAGCM (Comité
Nazional Industriel des Collabos et des Fournisseurs d'Accès
au Grand Caca Mondial), johnny halliday, Karen Shéryl, le
groupe Abba et les ayants droit de vie et de mort sur la kulture,
de sa diffusion et de son exploitation, qui fournissent les supermarchés
et chopi.»
* expression comique par L.L.d.M.
Par ailleurs, L.L.d.M., très colère, avait tenté
une patalonade pas très concluante, malheureusement :
Télécharger des mp3s sur Emule détruit la
flore intestinale, tue les chiens, fait mal au petit Jesus et fait
pousser des croûtes autour du gland.
Si vous diffusez le message d'Ariel Wizman, vous aurez plein de
gateaux et des amis très amusants; si vous continuez à
télécharger des mp3, vous aurez des maladies assez
sales et vous deviendrez de droite à chaque pleine lune.
Philippe D.J. (Fontenay sous Moi) a détruit tous les mp3s
qui trainaient sur son disque dur et sa femme qui les écoutait:
il a gagné un voyage en Irak avec Pascal Obispo dans un silo
à missiles climatisé pour un mois. Éric L.
(Trou sur Trou) a mangé un mp3 qu'il n'avait pas payé:
sa maison a été envahie par des coiffeurs et une abominable
cravate avec des chiens rigolos lui a poussé au cou.
Fançois C. (Fond-Du-Couloir-à-Gauche) a brûlé
son ordinateur pour ne pas succomber à la tentation: son
salaire a augmenté de deux tapes amicales dans le dos, il
n'a pas vomi son réveillon et il est devenu miraculeusement
sourd au moment ou serge Dassault passait à la radio.
Marine R. (Belin sur Biscuit), infirmière, a téléchargé
clandestinement "Mange ta poire", le tube de Magali Pette;
elle a glissé dans le patient n°12, s'est écrasé
contre la pompe à oxygène et a explosé en vol
trente mètres derrière le funérarium.
Attention, le peer 2 peer a été inventé par
Saddam Hussein pour détruire l'occident, ruiner le marché
de notre glorieuse musique qui rend intelligent pour la remplacer
petit à petit par des solos de sitar de trois heures et faire
pousser le voile à vos femmes, vos enfants et vos animaux
catholiques.
Si vous continuez sur cette voie de péché, Florent
Pagny va mourir de faim et ce sera de votre faute. Arrêtez
tout. Écoutez France Inter.
Travaillez 39 heures payées 12, votez à droite et
envoyez vos dons à Florent Pagny.
L.L. de Mars
Décembre
- semaine IV
Rhôôôô la belle interview :
LE MONDE - EDITION DU 02.07.03
M. Seillière : "Un vent de réforme souffle,
mais pas assez fort"
Satisfait du projet sur les retraites, le président du
Medef estime, dans un entretien au Monde, que la France est devenue
un pays "réformable" où "le gouvernement,
l'administration et une partie de l'opinion s'enhardissent".
Mais selon lui, M. Raffarin aurait dû aller "plus vite".
Le texte de cet entretien a été relu et amendé
par M. Seillière.
L'Assemblée nationale achève l'examen du projet
de loi sur les retraites. Que pensez-vous de la méthode employée
par le gouvernement ?
La nécessité de réformer les grands systèmes
sociaux, le premier d'entre eux étant la retraite, s'est
imposée.
Le gouvernement a donc avancé, selon sa méthode.
Il a cerné les contours de sa réforme au terme d'une
période qu'il a voulue longue (concertation, consultation,
négociation), ce qui a déclenché des réactions
sociales fortes. Il a tenu tranquillement sa position, jusqu'à
ce que la réaction s'apaise et que le Parlement donne au
projet sa forme législative. Pour la première fois
depuis des décennies, la volonté de réforme
d'un gouvernement l'emporte sur la somme des réactions négatives,
corporatistes, extrémistes, de refus et de blocage. Dans
l'histoire économique et sociale de notre pays, c'est une
page qui se tourne. Nos idées, lancées avec la refondation
sociale en 2000, ont porté.
Vous jugiez la société française difficile
à réformer. Elle l'est donc aujourd'hui...
Ce qui s'est passé sur les retraites montre que l'opinion
est prête, aujourd'hui, à des évolutions. Oui,
nous sommes dans un pays réformable, qui reconnaît
que l'organisation sociale "modèle 1945" doit évoluer.
La méthode du gouvernement peut-elle s'appliquer à
d'autres dossiers ?
A la faveur de cette première réforme, le gouvernement,
l'administration et une partie de l'opinion s'enhardissent. A l'opposé,
la méthode du blocage assortie de grèves et de manifestations
se dévalorise. Ce mouvement prend place dans un contexte
européen : réforme de la politique agricole commune,
réforme des institutions, réforme en Allemagne. Et
l'accord modifiant le régime des intermittents du spectacle,
signé avec la CFDT, la CFTC, et la CFE-CGC, montre qu'un
vent de réforme souffle, même s'il n'est pas encore
assez fort.
Pourtant, le gouvernement ne semble pas vouloir choisir entre
ceux qui "s'enhardissent" et ceux qui "bloquent".
M. Raffarin souhaite même "l'apaisement social"...
Le gouvernement a sa méthode, son style, son calendrier.
A l'évidence, il a choisi la voie de la réforme, alors
que le gouvernement de Lionel Jospin s'y opposait, même si
le Medef regrette qu'il ne se soit pas engagé plus tôt
et qu'il n'y soit pas allé plus fort et plus vite.
Le plan Fillon n'est financé que pour un tiers à
l'horizon 2020. Faudra-t-il augmenter les cotisations retraite ou
allonger encore leur durée ?
La réforme ne traite qu'une partie du problème.
En 2008, nous retrouverons les syndicats, le gouvernement et l'opinion
pour décider de la suite. Le gouvernement fait confiance
à la croissance et à la démographie française
pour alléger la charge des indemnités chômage
et faciliter ainsi le financement des retraites. Nous jugeons cette
perspective aléatoire.
Dans quel état d'esprit abordez-vous les négociations
sur l'emploi des seniors, la pénibilité du travail
et la formation ?
Nous avons proposé, avec quatre syndicats sur cinq, une
réforme profonde des voies et des moyens de la négociation
sociale, qui prévoit un encouragement fort à la négociation
sociale dans l'entreprise, quelle que soit sa taille. Nous souhaitons
qu'elle se déroule aussi bien avec des délégués
du personnel que des mandatés syndicaux, et que celle-ci
puisse être dérogatoire à l'accord de branche
ou interprofessionnel. A condition qu'elle corresponde à
une volonté majoritaire dans l'entreprise et qu'elle n'aille
pas contre la loi.
Le Medef est-il prêt à faire des concessions aux
syndicats sur la formation professionnelle ?
Il y a, en France, un déficit de formation. Elle est
surtout développée dans les grandes sociétés
et bénéficie aux salariés qualifiés.
On doit installer l'obligation de formation dans toutes les entreprises.
Elle est aussi nécessaire que l'investissement pour assurer
la productivité. Nous devons donc développer un droit
individuel à la formation offrant un certain nombre d'heures
à chaque salarié. Pour que ce droit concerne l'ensemble
des entreprises, il faut inciter les salariés à le
mettre en ¦uvre en dehors du temps de travail déjà
limité par les 35 heures. C'est ainsi que l'on généralisera
la formation.
Ne faut-il pas réformer d'urgence l'assurance-maladie
?
Si, mais le système de santé n'est pas de la responsabilité
des entrepreneurs. C'est un problème national. Son financement
est assis sur des cotisations, mais aussi sur une contribution fiscale.
Le Medef prendra la part que la révision des relations entre
l'Etat et les caisses définira, mais quand il connaîtra
clairement les axes d'une réforme conduisant à un
système efficace et compatible avec les équilibres
financiers.
Faut-il légiférer sur le service minimum ?
Le modèle "grève des services publics, blocage
de la vie économique" empêche la France de construire
sa croissance. Réglementer le droit de grève dans
le service public est aujourd'hui souhaité par une partie
croissante de la population. Le droit de grève est fondamental,
mais il est réglementé dans tous les pays du monde.
La continuité du service public est une question d'intérêt
général sur laquelle doit se concentrer la volonté
du législateur et des partenaires sociaux.
Après la réforme des retraites, quels enseignements
tirez-vous sur l'évolution des syndicats ?
Nous avons un syndicalisme réformateur sur le modèle
européen, qui accepte d'entrer en négociation, analyse
et reconnaît la situation, identifie le domaine du possible
et contribue à la réforme. Dans un paysage syndical
français en forte évolution, trois organisations sont
sur cette ligne : la CFDT, la CFTC et la CFE-CGC. Force ouvrière,
dont c'est pourtant l'histoire, en est pour l'heure absente. Quant
à la CGT, elle mène un travail interne de réflexion
et de réforme. Sur les retraites, elle a cherché sa
voie, entre une volonté de résistance, de refus et
une relative reconnaissance de la fatalité de la réforme.
Propos recueillis par Rémi Barroux et Jean-Michel Bezat
M. Fillon annonce une négociation sur la "Sécu"
Le boss était pas content, voici ses véritables propos
:
LE MONDE - EDITION pour longtemps
M. Patron : "Avec mon anus joli, j'ai pété et
un vent de réforme souffle, mais pas assez fort"
Satisfait du projet sur les cyclistes, le président des
patrons estime que la France est devenue un pays "jetable"
où "extrême droite, la propagande et une partie
de l'opinion s'enhardissent". Mais selon lui, M. El Gringo
Raffarino aurait dû aller "plus vite avec son gros popotin
de pécore".
Le texte de cet entretien a été apprécié
par M. Patron.
-L'Assemblée nazionale achève d'une balle l'examen
du projet de loi sur les cyclistes. Que pensez-vous de la virile
méthode employée par ce gouvernement bien membré
quand même ?
-Mon général, la nécessité de supprimer
les grands systèmes cyclistes, le premier d'entre eux étant
la retraite de ces andouilles, c'est bien, non ?
- Le gouvernement a donc sodomisé, selon ma méthode
de sodomisation. Il a cerné au feutre les contours pour qu'on
voille bien où il faut taper, au terme d'une période
qu'il a voulue longue et bien dure, ce qui a déclenché
des réactions sociales mollasses au début, puis inexistantes.
Il a tenu tranquillement son vit, jusqu'à ce qu'il vous le
glisse ici et là, avec la bénédiction du Parlement
et des gens du troupeau.
Pour la première fois depuis la guerre, ma volonté
d'un gouvernement l'emporte sur la somme des loquedus, neusneus,
"sevice feignouzes", cyclistes, de ces sacs à prout
de franzouzes. On leur a tellement bourré le mou, on les
a tellement effrayé avec leur futur de chiotte... J'ai tellement
la trique. Dans l'histoire économique et industrielle de
mon pays, c'est une page qui se tourne avec laquelle je m'essuie,
mon ami.
- ha ha ha
- Hu hu hu
-Vous jugiez la société franzaise difficile à
empapaouter. Elle l'est donc aujourd'hui...
- Ce qui s'est passé sur les retraites des ces zinzins montre
que l'opinion est comme un gros flan aux oeufs. Oui, nous sommes
dans mon pays, qui reconnaît que l'organisation sociale "modèle
1945", (ce n'est pas ma marque préférée),
doit être supprimée pour revenir au modèle 1933,
(ma marque préférée).
- La méthode du gouvernement peut-elle s'appliquer à
d'autres dossiers, chef ?
- Ben oui : ce mouvement prend place dans un contexte européen
: réforme de la politique, réforme des institutions,
réforme en grande Allemagne éternelle. Et l'accord
modifiant le régime des intermittents du spectacle, signé
avec les collabos syndicalistes mous des fesses, montre que mon
prout souffle, même s'il n'est pas encore assez fort, mon
prout.
- Pourtant, le gouvernement ne semble pas vouloir choisir entre
ceux qui "niquent" et ceux qui ont "niqueront".
M. Raffarino El Gringo souhaite même "le lexomil social"...
- Le gouvernement a ma méthode, mon style, son calendrier,
car les gens votent en 2007. A l'évidence, il a choisi ma
voie, alors que le gouvernement de Lionel Jospin était ramollo
du cul.
-Le plan Fillon Dubois n'est financé que pour un tiers à
l'horizon 2020.
Faudra-t-il augmenter les cotisations retraite des cyclistes ou
cotiser pendant 120 ans ?
- Le gouvernement fait confiance à la capacité de
reproduction des Françouzes pour payer les retraites des
futurs merdeux. C'est naze : je vois mal ces oisifs, satisfait de
leur vie, étriqués du bonnet, ces bovins de françouzes
se mettant à copuler comme pas deux dans le seul but de repeupler
le FrankReich, alors que sortent les DVD haute définition
et les derniers modèles de Peugeot : "avec ma Peugeot,
tout les jours j'ai l'air d'un veau" !
- Dans quel état d'esprit abordez-vous les négociations
sur l'emploi des seniors, la pénibilité du travail
et la formation ?
- Décontract-man.
-Le Medef est-il prêt à faire des concessions aux
syndicats sur la formation professionnelle ?
- Il y a, en France, une fracture sociale.
-Ne faut-il pas réformer d'urgence l'assurance-maladie ?
- Vi, Le franzais n'est réparé que si il paye.
Point.
- Faut-il légiférer sur le service minimum, boss
?
- Le modèle "grève des feignasses, blocage de
ma vie économique" empêche ma France de construire
ma croissance. Supprimer le droit de grève dans le service
public - sauf le dimanche - est aujourd'hui souhaité par
une partie croissante de mes copains. Le droit de grève est
fondamental, mais il est en voie de disparition dans tous les pays
de notre monde, avec mes potes.
La disparition du "service feignasse" est une question
de mon intérêt général sur laquelle doit
se concentrer la volonté du gouvernement s'il ne veut pas
que je lui foute la honte dans la télé.
- Après la réforme des retraites, quels enseignements
tirez-vous sur l'évolution des syndicats ?
- C'est si beau qu'on dirait des collabos.
Propos recueillis par Jean-Claude Lèche et Jean-Guy Mollasse
Décembre - semaine III
Mais qu'est ce que c'est que ces conneries que je lis ?
POLITIQUE CULTURELLE
La salle Pleyel rachetée par l'Etat
LE MONDE | 09.11.04 | 14h04
La salle sera louée cinquante ans puis cédée
pour 1 euro symbolique. L'Etat rachète Pleyel. Le ministre
de la culture et de la communication, Renaud Donnedieu de Vabres,
a annoncé, lundi 8 novembre, la signature d'un contrat de
bail entre Hubert Martigny, le propriétaire de la salle Pleyel
via la société IDSH, dont il est président,
et la Cité de la musique, établissement public à
caractère industriel et commercial (EPIC). Cet accord, assorti
de clauses de dénonciation avant terme ou d'acquisition anticipée,
prévoit un bail de cinquante ans pour un loyer annuel de
1,5 million d'euros, au terme duquel, en 2054, la salle de concert
et l'immeuble de la rue du Faubourg-Saint-Honoré (Paris-8e)
deviendront propriété de l'Etat pour un euro symbolique.
AMÉLIORER L'ACOUSTIQUE
Le ministre de la culture parachève ainsi l'action entreprise
par son prédécesseur, Jean-Jacques Aillagon, moins
d'un an après la signature, le 8 décembre 2003, d'un
premier protocole d'accord prévoyant un simple bail locatif
d'une durée de vingt ans, au prix annuel de 1,8 million d'euros.
M. Martigny avait acheté la salle Pleyel au Crédit
lyonnais sur ses fonds propres, en 1998, pour 65 millions de francs
(10 millions d'euros). Sa mise en examen, le 21 juillet, pour "diffusion
d'informations trompeuses, présentation de comptes inexacte,
faux et usage de faux" dans l'affaire qui oppose l'Association
des petits porteurs d'actifs (Appac) à Altran Technologies,
dont il est vice-président, et sa mise en liberté
sous contrôle judiciaire, moyennant une caution de 3 millions
d'euros, n'ont pas perturbé la signature du bail et la réouverture
annoncée de Pleyel à l'automne 2006 - la salle est
fermée depuis le printemps 2002.
Comme convenu précédemment, c'est au propriétaire,
M. Martigny, que revient la prise en charge de l'intégralité
des travaux de rénovation de la salle, estimés en
juin à 23 millions d'euros : amélioration de l'acoustique,
meilleur confort d'accueil du public et des espaces professionnels.
Le premier coup de pioche devrait être donné d'ici
au 1er janvier 2005, sous la conduite de l'architecte François
Ceria et du cabinet Artec pour la partie acoustique et scénographique.
Confiée de fait à Laurent Bayle, l'actuel directeur
général de la Cité de la musique, dont le contrat
devrait être renouvelé en décembre 2004, la
nouvelle direction de la salle accueillera en résidence,
à parts égales, l'Orchestre de Paris, dont le bail
au Théâtre Mogador s'achève à la fin
de la saison 2005-2006, et son directeur artistique, Christoph Eschenbach,
ainsi que l'Orchestre philharmonique de Radio-France dirigé
par Myung-Whun Chung.
Soucieuse de sa mission de service public liée à
la diversité des publics et d'une bonne coordination avec
les autres institutions musicales parisiennes, la programmation
devrait accueillir les orchestres français - parisiens et
régionaux -, les grandes phalanges étrangères,
ainsi que des producteurs privés (un quota de 20 à
30 concerts par an). On devrait être fixé d'ici la
fin de l'année sur le mode d'administration de la salle,
qui pourrait être gérée directement par la Cité
de la musique. Les recettes devront couvrir 70 % du budget artistique.
"DANS LE CAMP DE DELANOË"
L'ancien ministre de la culture, Jean-Jacques Aillagon, en son
temps, avait affirmé que le projet de location de Pleyel
"n'obérait en rien la construction d'un grand auditorium
parisien dans quelques années" et que "la balle
était désormais dans le camp du maire de Paris, Bertrand
Delanoë". Interrogé sur LCI lors d'un récent
voyage en Chine, Bertrand Delanoë a affirmé qu'il allait
"prendre ses responsabilités".
Marie-Aude Roux
Voilà ce qui arrive quand c'est le journaliste des Entreprises
& multinationales hebdo qui rédige le papier sur
la Kulture. Il fallait lire :
POLITIQUE KULTURELLE
La Kulture rachetée par l'Etat
LE MONDE | 09.11.04 | 14h04
La Kulture sera louée un an puis lourdée pour 1 centime
d'euro symbolique et un ticket restaurant.
L'Etat rachète la Kulture. Le ministre des petits fours
et de la Kommunication, Renaud-Johnny Donnedieu de Denise Vabres,
a annoncé en slip la signature d'un contrat de sommeil entre
Hubert Toldbretch, le propriétaire de la kulture via la société
BOMBINETTE, dont il est président, et la Cité de la
musique d'operette, établissement privé de caractère
avec vue (EPCV).
Cet accord de do majeur dans ton cul, assorti de clauses de collaboration,
prévoit un lexomil, pour un loyer annuel de 0,0000001 miyon
d'euros, au terme duquel, en 2005, la kulture et le T2 de la rue
du Faubourg-Saint-Honoré (Paris-8e) deviendront propriété
de Bernadette Chichi impératrice pour une pièce si
jaune, mais déjà ponaise.
AMÉLIORER LES MOUSTIQUES
Le ministre de la coupe de Dompérignon parachève ainsi
l'action militaire entreprise par son prédécesseur,
Jean-Jacques Rouland, moins d'un an après la signature, le
8 décembre 2003, d'un premier protocole d'accord prévoyant
ceci-cela pour une durée que les moins de vingt ans ne peuvent
pas connaître.
M. Martigny avait acheté la Kulture au zallemands sur sa
bonne mine, en 1998, grace à la vente de l'Autriche à
la Suisse. Sa mise en examen, le 21 juillet, pour "vente
de pays illégalle, présentation de comptes mals rasés,
faux et usage d'une faux" dans l'affaire qui oppose l'Association
des cyclistes en slip (ACS) à El Gringo Raffarino Technologies,
dont il est très content, et sa mise en liberté moyennant
une caution proche du PIB de l'Angola, n'ont pas perturbé
le repas et la réouverture annoncée de la Kulture
un jour - le salon de la Kulture et du macramé est fermé
depuis le 21 mai 2002.
Comme convenu l'autre jour, c'est au propriétaire de plein
de trucs, M. Bill Gates, que revient la prise en charge de l'intégralité
des travaux de domotique de la Kulture : amélioration des
moustiques, meilleur lisibilité des trucs avec index bien
sur, et le choix dans la date.
Le premier coup de boule devrait être donné d'ici
au 1er janvier 2005, sous la conduite de l'architecte François
Cagalapin et du cabinet "Toilette 2000" pour la
partie des moustiques et autres.
Confiée de fait à Robert Moulachion, l'actuel directeur
général de la Cité des moustiques, la nouvelle
direction accueillera en résidence, "Vivement dimanche",
donc je baille, et m'achève à la fin, des cyclistes,
un japonais, ainsi que l'Orchestre philharmonique de Atais Shouaits
dirigé par Myung-Whun- Aammmumm-aaaa tchoung.
Soucieuse de sa mission de service public blablabla liée
à la diversité des publics de bourre-mon-cul d'une
bonne coordination prout avec les autres institutions de cyclistes,
la programmation devrait accueillir des trucs en macramé.
"DANS LE CAMP SOUS LA TENTE AVEC BERTRAND IVANOË"
L'ancien ministre de la Kulture, Windows Ixpé de Vivendi,
en son temps, avait affirmé que le projet de location de
la Kulture "n'obérait en rien la gonstruction d'un
macdo barisien dans guelques jours" et que "la
baballe était désormais dans le baire de Baris, Berdrand
Ivanoë".
Interrogé sur un chval lors d'un récent voyage en
Mongolie, Ivanoë a affirmé qu'il allait "descendre
de chval".
Maurice Flapi.
Décembre
semaine III
un addendum du professeur De Jupe, célèbre collaborateur
d'Oncle Patalon
Par mégarde, un lecteur inattentif des pages littéraires
du Terrier a envoyé à notre équipe une lettre
recommandée par sa maman pour devenir notre copain:
Bonjour !
Je m'appelle pascal pacaly, j'habite lyon, et je viens de publier
un recueil de poesie et nouvelles , "L'Amour-Eux", chez
la Bartavelle editeur, à charlieu, dans la loire (42). Membre
de la Société des Poetes et Artistes de France (SPAF)
et de la Sélyre (association d'écrivains lyonnais)
, je participe a de nombreuses fêtes du livre et suis en contact
avec des groupes musicaux en vue d'adaptation de mes textes en chansons
(Richard Montaillard, jazzman - Flinz, groupe de pop rock...).Je
participe aussi a de nombreuses fêtes du livres comme celle
de saint etienne, lyon ou champagne-au-mont-d'or( toutes en 2002,
2003 et 2004).
Je me demandais s'il etait possible d'avoir un petit écho
ou critique dans votre site (article? portrait, interview?) ou alors
faire paraitre un des poemes que je vous envoie (sous format word)
je vous invite également a faire un tour sur le site
http://catchthedream.free.fr pour vous faire une idee des autres
poemes.
Quand a la nouvelle du recueil, elle pourrait etre resumé
ainsi :il s'agit d'un personnage de 15 ans, dont l'adolescence est
solitaire en tt point et qui ne comprend pas la société
qu'on lui propose. La froideur et son absence d'envie de vivre sera
compensée par l'arrivée de justine, son amie de college
a qui il a devoué tout son amour, tant sentimentale que charnelle,
mais justine existe t elle vraiment ou est ce son imagination qui
lui joue des tours ?)
Une exposition de peinture-poesie aura lieu a lille du 4 au 11 février
ou la peintre surréaliste Vanessa Lheureux a eu la gentillesse
d'accepter d'illustrer mes textes et poemes.
Je me permets de vous faire parvenir en piece jointe un fly-pub,
des poemes recueil ainsi qu'une nouvelle.
N'hesitez pas a me contacter pour plus de renseignements !
Le petit étourdi a oublié de se relire, il fallait
évidemment confier son courrier à notre correcteur,
ce qui fut fait:
Bonsoir
Je m'appelle Philippe De Jonckheere, j'habite à Fontenay-sous-Bois,
en banlieue parisienne et je ne parviens pas à faire publier
un roman que je viens d'écrire et qui s'intitule
"une Fuite en Egyte",
une histoire d'amour où il est beaucoup question de masturbation
(mais j'aime aussi beaucoup le golf et étrangler des animaux).
Je ne suis membre d'aucune secte, je participe tous les ans à
"Lire en fête" à l'espace des Blancs-manteaux
à Paris où personne ne peut, soit m'entendre, ou soit
voir ce que je fais sur un écran géant de la taille
d'un timbre poste. Sonny Rollins a décliné de mettre
en musique mon dernier texte de 600 pages, c'est qu'il est plus
tout jeune Sonny, il doit manquer de souffle en ce moment, six-cent
pages c'était peut-être de trop!
Sacré Sonny!
Je me demandais s'il serait possible que vous vous fassiez l'écho
de l'indifférence complète qui entoure mes productions
(un article, une petite chronique, un portrait, si possible pas
de profil) ou alors faire paraître mon très long et
très ennuyeux roman, préférablement aux éditions
de minuit en utilisant votre entregent.
Je vous invite également à visiter le site http://www.desordre.net
sur lequel vous trouverez de nombreuses photos amateurs de mes enfants
niais. Pour que vous vous fassiez une idée.
Quant à l'intrigue de mon roman, elle pourrait être
résumée ainsi: "une femme meurt dans un accident
de voiture, c'est la mienne, je veux dire de femme, de voiture aussi
d'ailleurs, du coup, fraîchement aveuvé, j'en profite
pour sauter au cou de l'ancienne compagne de mon meilleur ami, tout
en me masturbant fréquemment en repensant à mon ancienne
femme morte dans cet accident de voiture. A la fin on se demande
tout de même, tandis que je joue au kapla avec mon fils, si
mon imagination ne me joue pas des tours."
Une exposition de Daphné Bitchatch aura lieu chez elle,
dans son grand appartement parisien, où elle illustrera de
son installation intitulée "le funambule" une de
mes nouvelles, intitulée "le rêve de la femme
funambule"
Je me permets de vous joindre attaché à ce mail un
petit fichier image de 20 megs, photo de nos dernières vacances
dans les Cévennes avec ma famille, parce que j'aimerais beaucoup
que vous m'aidiez à en faire ma carte de voeux cette année,
parce que ja panouille un peu sous Xpress.
Surtout n'hésitez pas à m'envoyez du spam, spam,
spam ou alors du homard Thermidor et ses crevettes cuites dans une
sauce Mornay à la provençale aux échalotes
et aux aubergines garnies du pâté de truffe, cognac
et son oeuf frit et du corned-bîf sur le dessus.
Amicalement
Phil, oui appelez-moi Phil ce sera plus cordial.
Phil De J.
Décembre - semaine II
Mais que lis-je?:
« Jizo, une petite divinité qui aide les Japonais
à ne pas salir le bord des routes
LE MONDE | 06.12.04 | 14h51
Tokyo de notre correspondant
Le Japon a la réputation d'être un pays propre.
A juste titre. Mais ses habitants n'en sont pas moins désormais
quelque peu sans gêne, notamment avec la nature : le mont
Fuji, montagne vénérée s'il en fût, est
parsemé de canettes, de bouteilles en plastique et de détritus
divers laissés par les alpinistes amateurs qui en font l'ascension.
C'est également le cas du bord des routes, souvent jonché
d'ordures jetées par les automobilistes.
Pour enrayer ces pratiques, une petite commune de 5 000 âmes,
Nagato, dans le département de Nagano, au centre du Honshu,
a trouvé une solution "miraculeuse" : elle a installé
aux abords de ses parcs de stationnement et le long de la route
menant aux stations de ski dont cette région est riche trois
statuettes de Jizo, un petit bodhisattva aimé de tous. Attachant
et familier, Jizo est la figure du panthéon bouddhique la
plus chère aux Japonais. Son image la plus répandue
est celle d'un moine au visage doux et au crâne rasé,
vêtu d'une longue robe et tenant à la main une canne.
Souvent coiffée d'un petit bonnet rouge tricoté et
portant un bavoir autour du cou, cette divinité des croisements,
honorée aux bornes des villages, est devenue le patron de
l'enfance et elle a pris dans le sentiment religieux japonais une
place primordiale. Inopinément, au détour d'un chemin
de montagne, on tombe sur un petit autel qui lui est dédié,
au pied duquel sont parfois déposées des offrandes.
Croyants ou non, les Japonais partagent un sentiment de religiosité
flottante, mais néanmoins bien ancré dans les mentalités.
Personne ne se moque de ce fond de croyances ancestrales, et beaucoup
y cherchent un apaisement aux inquiétudes de la vie.
Apparemment, à Nagato, la présence des Jizo est
plus efficace que les panneaux d'interdiction et dissuade les touristes
de laisser les restes de leurs pique-niques sur le bord de la route.
"Je ne peux pas jeter mes déchets avec un Jizo qui
me regarde", dit un automobiliste interrogé par la chaîne
NHK, qui a présenté l'initiative de la petite commune.
Selon le commentaire, en quatre mois les déchets ont presque
totalement disparu. A la mairie, on est plus prudent : les premiers
résultats sont encourageants, mais la saison de ski ne fait
que commencer.
Alors, on "croise les doigts" et l'on s'en remet aux bons
offices des Jizo...
Philippe Pons »
Notre correctrice a mélangé 2 articles. Voici l'original
restauré :
« Apopo, une petite merdouille qui aide les zallemands à
ne pas se salir.
NOTRE MONDE | 06.12.10 | 14h51
Viennes, de notre collaborateur.
L'empire allemand a la réputation d'être un pays propre.
À juste titre. Mais ses fiers habitants n'en sont pas moins
désormais quelque peu ollé-ollé quand même,
notamment avec leur nature : le mont Ladsus, montagne vénérée
par les cyclistes s'il en fût, est parsemé de canettes,
de bouteilles de schnaps et de tracts divers laissés par
les cyclistes amateurs qui en font des cocottes en papir. C'est
également le cas du bord des autobahns nazionaux, souvent
jonché d'ordures de gauche jetées par les automobilistes.
Pour encourager ces pratiques, une petite commune de 5000 blonds,
Beßtagen, dans le département de Berkestadt, au centre
de mon cul, a trouvé une solution "socialiste"
: elle a installé aux abords de ses parcs de stationnement
et le long de la route menant aux stations de rééducation
dont cette région est riche trois statuettes de Apopo, un
petit potelé moustachu aimé de tous. Attachant et
familier, Apopo est la figure du maître millénaire
suprême éternel la plus chère aux zallemands.
Son image la plus répandue est celle d'un moine au visage
décidé et au crâne rasé, vêtu d'une
culotte de chval et tenant à la main une schlague. Souvent
coiffée d'un petit casque noir tricoté et portant
un bavarois autour du cou, cette divinité, (artiste à
ses heures), des croisements austro-hongrois, honorée aux
cul des villageoises, est devenue le patron de l'enfance, celle
qui montrera l'exemple, et elle a pris dans le sentiment nazional
une place primordiale. Inopinément, au détour d'un
chemin, on tombe sur un petit cimetière.
Croyants ou nazis, les Zig-zig partagent un sentiment de "rentrer
dans ton cul", mais néanmoins bien ancré dans
les mentalités. Personne ne se moque de ce fond de croyances
celtes, et beaucoup y cherchent une revanche aux inquiétudes
de la vie.
Apparemment, à Beßtagen, la présence des Apopos
est plus efficace que les lois et dissuade les cyclistes de laisser
leurs restes sur le bord de la route.
"Je ne peux pas jeter mes déchets avec un Apopo qui
me regarde", dit un gros type interrogé par la chaîne
ZIG, qui a présenté l'initiative de la petite commune.
Selon le Oberschtroumph, en quatre mois les cyclistes ont presque
totalement disparu. A la mairie, on est plus prudent : les premiers
résultats sont encourageants, mais la saison de délation
ne fait que commencer. Alors, on "s'excite la nouille"
et l'on s'en remet aux bons offices des Apopos...
Philippe Darnand. »
Novembre - semaine II
Une petite couille s'est glissée dans cette brève
(extrait) sur l'économie de marché :
Faut-il rendre l'anglais obligatoire à l'école
?
ARTICLES PARUS DANS L'EDITION DU 22.10.04
Faut-il rendre l'apprentissage de l'anglais obligatoire dès
le CE2 ?
Le rapport Thélot, constatant la dégradation du
niveau des jeunes Français, proposait d'apprendre à
tous les élèves un "anglais de communication
internationale". La proposition, soutenue par le premier ministre,
heurte les défenseurs de la francophonie, les syndicats et
même les anglicistes.
Virginie Malingre
FAUT-IL rendre obligatoire l'apprentissage de l'anglais dès
le CE2, au même titre que le français ou les mathématiques
? Le rapport de la commission pour l'avenir de l'école présidée
par Claude Thélot l'avait proposé, Jean-Pierre Raffarin
et François Fillon y sont favorables. Très critiquée,
tant par les tenants de la diversité linguistique que par
les syndicats d'enseignants, qui récusent la notion d' «
anglais de communication internationale » introduite par le
rapport, cette proposition vise à améliorer le niveau
des élèves français en anglais. Selon une étude
réalisée dans sept pays d'Europe, ce sont les jeunes
Français qui auraient le niveau le plus faible - ce dernier
aurait en outre baissé entre 1996 et 2002.
Reste à savoir quelle sera la position de Jacques Chirac
dans ce débat, lui qui a mis en garde, le 7 octobre, lors
de son voyage au Vietnam, contre « une humanité où
l'on ne parlerait qu'une seule langue ».
Pancho
Voici le correctif :
Faut-il rendre le langage obligatoire à l'école nazionale
?
Le rapport "Agadlatélévisionépidor",
constatant la dégradation du niveau des jeunes Franzais quand
ils causent franzais, et des abris-bus dans les cités des
tilapins, proposait d'apprendre à tous les élèves
un "rozbeef global européen de communicazion internazionale".
La proposition, soutenue par des gens, heurte les défenseurs
des animaux (les tichats et les tilapins par exemple), les syndicats
de pneus et même les cyclistes.
FAUT-IL rendre obligatoire l'apprentissage du rozbeef dès
le CE2, au même titre que l'allemand ou le sport ? Le rapport
de la commission nazionale pour l'avenir de l'école franzaise
et de l'intégration de l'Europe dans les USA présidée
par Claude-johnantan Günter Mouloudostein l'avait proposé,
John-Peter Raffarin et Francesco Fillon y sont favorables parce
que bon.
Très critiquée, tant par les tenants de la diversité
bucco-linguale que par les aboutissants des syndicats d'enseignants
communiss, qui récusent la notion d' « anglais comme
langue pour parler avec des types », qu'y disent dans le rapport,
cette proposition vise à améliorer le niveau des élèves
franzais pour par exemple acheter une baguette ou un pneu.
Selon une étude Ipsos/Jour de France réalisée
dans plein de pays ou l'on cause, ce sont les jeunes Franzais qui
auraient
le niveau de pile le plus faible - ce dernier aurait baissé
entre 1996 et 2001, puis augmenté après septembre
2001 passqu'on a changé de nationalité.
Reste à savoir quand même quelle sera la position du
Chirac dans ce débat super dur, lui qui a mis en garde en
agitant son majeur, lors de son voyage de vacances d'octobre au
Vietnam, pour « une humanité où l'on ne parlerait
qu'une seule langue : le baragouin et une autre au choix ».
Il est également question de conserver dans les écoles,
le franzais* en 2ème langue optionnelle.
Helmut-Manolo Grichtakian.
*Langue morte pratiquée en Ile de France, du 18ème
au 20ème siècle aprés machin.
Oncle Patalon.
Novembre - semaine I
Mé, que lis-je dans cet extrait d'article de ma presse nazionale
?
«Aux Etats-Unis, Microsoft réussit à breveter
l'invention du clic» LE MONDE | 07.06.04 | 14h43
« Cliquer sur une icône ou un bouton pour ouvrir
un document ou lancer un programme : l'idée est si excellente
qu'elle gouverne tous les systèmes informatiques depuis de
nombreuses années. Excellente, elle n'en était pas
moins en souffrance d'inventeur, puisque personne n'avait revendiqué
ou obtenu, jusqu'à présent, la paternité de
cette "invention".
C'est maintenant chose faite. Le 27 avril, l'US Patent and Trademark
Office (Uspto) a en effet accordé au géant Microsoft,
sous le numéro 6 727 830, un brevet protégeant le
clic et toutes ses déclinaisons possibles, dès lors
que celles-ci concernent un programme développé pour
un ordinateur de poche aux "capacités limitées",
c'est-à-dire un appareil du type assistant personnel numérique
(PDA).
Aux Etats-Unis, la firme de Bill Gates est par conséquent
fondée à demander une rétribution à
tous ses concurrents qui développent des systèmes
permettant "l'ouverture d'applications différentes selon
la durée de temps durant laquelle un bouton est pressé".
Le brevet obtenu par Microsoft couvre ainsi le simple clic, mais
également le clic long - caractérisé par une
unique pression d'"au moins une seconde" sur le bouton.
Quant au double clic, bien connu de tous les utilisateurs d'ordinateurs
individuels, il est également protégé. "Une
autre fonction peut encore être lancée si le bouton
est pressé plusieurs fois en l'espace d'un court instant",
précise le résumé du brevet.
Pour l'heure, de tels brevets - qui protègent la mise
en oeuvre d'idées et non des réalisations techniques
- ne sont pas reconnus dans les pays de l'Union européenne,
comme c'est le cas aux Etats-Unis et au Japon.»
Tsssss, encore une coquille dans ce beau papier journal, que je
m'empresse de rectifier fissa fissa :
Claquer une mère de famille ou une femme pour ouvrir un
lave-vaisselle ou lancer et accélérer un programme
de machine à laver et de repassage : l'idée est si
excellente qu'elle gouverne tous les systèmes informatiques
de programmation masculins des produits d'électroménager
à connasses depuis de nombreuses années en fait depuis
la nuit des temps. Excellente l'idée à toto, elle
n'en était pas moins en souffrance d'inventeur à neurones,
puisque personne (de masculin), n'avait revendiqué ou obtenu
poil au cul, jusqu'à présent, la paternité
couillue de cette "invention" burnée de claquage
de radasse.
C'est maintenant chose faite. Le 27 avril, l'US Schwartzi Utilisator
Pampan Office (SUPO) a en effet accordé au géant Micromou
un brevet protégeant la claque et toutes ses déclinaisons
possibles, dès lors que celles-ci concernent un programme
développé pour une femelle d'intérieur aux
"capacités limitées", c'est-à-dire
un appareil féminin du type Assistant Personnel de Gros Con.
(APGC).
Aux Etats-Unis, la firme de Bill Bill est par conséquent
fondée à demander une rétribution à
tous ses concurrents qui développent des systèmes
permettant "l'ouverture d'applications différentes selon
la durée de temps durant laquelle une baffe est donnée".
Le brevet obtenu par Micromou couvre ainsi la simple claque, mais
également le coup de pied au cul - caractérisé
par une unique pression à la volée d'au moins une
seconde sur le cul de mémère la ménagère.
Quant au double coup de pied retourné, bien connu de tous
les utilisateurs de femmes individuelles, il est également
protégé. "Une autre fonction peut encore être
lancée si le gros cul de feignasse est claqué plusieurs
fois en l'espace d'un court instant", précise le résumé
du brevet poil au cul.
Pour l'heure, de tels brevets choupis poil au pis - qui protègent
la mise en oeuvre d'idées et non des gens - ne sont pas reconnus
dans les pays de l'Union européenne, mais en fait si, le
mois prochain.
Oncle Patalon fissa fissa.
Octobre - semaine IV
Mon bon Pascal Nègre et mon gars Rony-sous-Bois qui s'énervent
dans la presse de Franze UMPé :
«Nous n'avons pas d'autre choix que d'attaquer les internautes
mais avant, nous avons voulu les prévenir une dernière
fois", résume Pascal Nègre à l'occasion
d'une conférence de presse tenue le 4 mai au siège
du Snep.
"Nous attaquerons si rien ne change», explique Hervé
Rony, le délégué général du Snep,
«c'est-à-dire s'il n'y a pas de reprise des ventes
de disques et d'effondrement du peer-to-peer.» Car les producteurs
restent convaincus que l'échange illégal de fichiers
en ligne est le principal facteur de décroissance du marché.
«Il suffit de regarder les chiffres», estime Hervé
Rony, «les courbes de la montée du haut débit
et de la chute des ventes de disques sont en miroir.»
Zig zig. Nos excuses plates. Il fallait lire :
"Nous n'avons pas d'autre doigts que d'attacher les étrangers
mais avant, nous avons voulu les prévenir une dernière
fois avec un haut-parleur", résume laborieusement Pascal
Nègre à l'occasion d'une conférence de presse
tenue le 4 mai au siège du SLIP, dans la ville de Moncul.
«Nous attaquerons si rien ne change», explique Hervé
Rony-sous-Bois, le déguélé général
du SLIP, "c'est-à-dire s'il n'y a pas de reprise du
travail par des français de souche et d'effondrement du travail
étranger." Car les employeurs restent convaincus que
le travail illégal des étrangers en Françe
est le principal facteur de décroissance du marché.
"Il suffit de regarder les chiffres", estime Hervé
Rony, "les courbes de l'immigration de l'étranger et
de la chute des naissances de produits français sont en miroir."
Oups, bonne version :
"Nous n'avons pas d'autre choix que d'attaquer les Juifs mais
avant, nous avons voulu les prévenir une dernière
fois", résume Pascal Nègre à l'occasion
d'une conférence de presse tenue le 4 mai au siège
nazional du Snip.
"Nous attaquerons si rien ne change", explique RonyRony,
le délégué général nazional du
Snip, "c'est-à-dire s'il n'y a pas de reprise du travail
par desfrançais de souche et d'effondrement du Juif."
Car les employeurs du monde restent convaincus que le travail illégal
des Juifs en France est le principal facteur nazional de décroissance
du marché nazional. "Il suffit de regarderles chiffres
nazional", estime Rony Rony, "les courbes de la montée
du Juif dans les médias et la finance nazionale ; et de la
chute des ventes de produits français sont en miroir. Boum"
Dernière rectification, du National Geographic, toutes mes
excuses plates :
"Nous n'avons pas d'autre choix que d'attaquer les pangolins
mais avant, nous avons voulu les prévenir une dernière
fois", résume Pascal Fourmiller à l'occasion
d'une conférence de presse tenue le 4 mai au siège
du Daktari.
"Nous attaquerons si rien ne change", explique Cheeta,
le délégué général du Daktari,
"c'est-à-dire s'il n'y a pas de reprise du travail par
des pitites souris et d'effondrement du pangolin." Car les
employeurs restent convaincus que le travail illégal des
pangolins en France est le principal facteur de décroissance
à roulette du marché. "Il suffit de regarder
les chiffres", estime Cheeta, "les courbes de la montée
du pangolin dans les médias et la finance ; et de la chute
des pitites souris sont en miroir."
Octobre - semaine III
Mesdames, messieurs, un brin de poilade :
Mon gars Michel Legrand du Moulin de mon Choeur, il a dit dans «Le
Monde», à propos de la musique contemporaine, poil
à la reine :
«C'est ridiculement enfantin, l'avant-garde. C'est pour
ça d'ailleurs qu'il y en a tellement qui en écrivent
! Vous n'avez besoin d'aucune technique ; moins vous en avez, mieux
ça vaut. C'est du creux dans du vide. Xenakis n'a pas la
moindre idée de ce qu'est la musique, c'est un mathématicien
!»
En fait, il fallait lire :
«C'est ridiculement enfantin, la techno. C'est pour ça
d'ailleurs qu'il y en a tellement, de la techno, c'est vrai ! Vous
n'avez besoin d'aucune technique ; moins vous en avez, mieux ça
vaut et plus c'est pas bien. C'est du creux dans du vide plein de
rien avec des boutons qui font ping, oump et dzoinning. Didji Xenakis
n'a pas la moindre idée de ce qu'est la musique, c'est un
grec !»
Oups encore trompé, voici la bonne version, il fallait lire
:
«C'est ridiculement enfantin, un batteur. C'est pour ça
d'ailleurs qu'il y en a tellement qui en écrivent pas de
la musique de batteur ! Vous n'avez besoin d'aucune technique avec
les baguettes ; moins vous en avez, mieux ça vaut. C'est
du creux dans du vide avec une peau dessus. Régis Boulard
n'a pas la moindre idée de ce qu'est la musique, c'est un
batteur !»
Il est fort le Mimi.
Oncle Patalon
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