J'avais chafouinement envisagé de me réfugier en deuxième position, avec l'avantage de pouvoir planquer toute la faiblesse de mon jeu instrumental derrière mon travail acousmatique. Jean-Luc trouva bon de me déloger de ce douillet blindage sonore, ce qui m'accula à un solo de vingt minutes instrumental sans filet. Les amateurs de longues respirations silencieuses allaient être servis. |
lldemars, l.l. de mars, Le Terrier au Nova, musique, contemporaine, non idiomatique, improvisation, exposition, droits d'auteur, art