chronique rapide de choses étirées - L.L.d.M. | ||
a) Les lectures publiques | ||
À mon arrivée
à Rennes, en 1988, j'entamai des cycles de lectures publiques, principalement dans
des café-concerts (L'inconnu, le Synthi). Je définissais alors cette activité
comme une forme de l'activité critique soumise à la fulgurance de la musicalité ... Mouais... Manière rapide et brouillonne d'éviter la question ; il était très difficile à cette époque, dans cette ville, de simplement convaincre qui que ce soit que cette activité en était une et qu'il y avait du sens à lire des textes en public. J'avais déjà tant de mal à m'en convaincre moi-même... Je ne compte pas le nombre de fois où il me fût demandé «bin, pourquoi tu fais ça? ». Plus tard, cette question fit plus sérieusement l'objet d'une discussion avec Emmanuel Tugny, pour le quatorzième numéro de la revue La Parole Vaine. Ci dessous, quelques photos de lectures et concerts organisés à chaque sortie pour la sorties d'un numéro de La Parole Vaine (ici, Au 1929, pour la sortie du N°11). |
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L.L. De Mars e Julien Demarc , à deux voix sur un texte de J.Demarc (La religieuse désarmée, consultable ICI) | ||
Franck Lawrence et L.L. de Mars, sur le passage des grenouilles de Watt (Beckett) | ||
Les soirées accompagnant les parutions de La Parole Vaine étaient l'occasion de présenter également le travail musical de certains d'entre nous, essentiellement de musiques contemporaines écrites et de musiques expérimentales.
L'équipe
de la Parole Vaine se proposa, dans son quatorzième numéro (numéro en ligne disséminé dans Le Terrier) ,
de soumettre la lecture publique aux interrogations de ses détracteurs
comme de ses acteurs. |
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Franck Lawrence et Philippe Tessier, sur une pièce de P. Tessier | ||
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