Il n’y a plus eu depuis Richard Strauss d’opéra qui rencontre un large public. Wozzeck et Lulu, les deux opéras de Berg postérieurs aux grands succès de Strauss, n’ont trouvé qu’un public restreint en comparaison du public plus général de l’opéra et le répertoire aujourd’hui repose sur deux grands piliers : le répertoire italien de la fin du XIXe et du début XXe siècle ; le répertoire allemand de Mozart à Strauss. En dehors de cette base, quelques Russes, le baroque que l’on redécouvre. De Stravinski, il (…)